« Gigi » m'a laissé un sentiment partagé. Le principe même du recueil de nouvelles prête flanc à des histoires d’intérêt plutot inégal.
La grande quantité de dialogues rend « Gigi » et « La dame du photographe » plutot plaisants avec ce coté description sociétale pénétrant, même si la morale de la première laisse perplexe (une femme de quinze à peine aurait-elle toujours besoin d'un protecteur?), « L'enfant malade » avec sa thématique lourde est aussi beau que délicat, seule la dernière nouvelle « Flore et Pomone » m'ayant rebuté par ses longues descriptions mêlant souvenirs et ébahissement permanent devant la nature.
Un style donc marquant, des histoires bien trouvées mais pas de révolution me concernant !
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