J’étais obligé.
Il fallait que je lise cet ouvrage de François Bégaudeau.
Il ne pouvait en être autrement.


Bégaudeau, ces dernières années, ça a régulièrement été une bouée de sauvetage pour moi.
En ces temps de prise de parole à-tout-va et de la réaction plutôt que de la réflexion, ça m’a fait du bien – dans ce flot ininterrompu de bêtise – de pouvoir me raccrocher à de la pensée.
Juste ça. De la pensée.
J’entends par là un cheminement intellectuel.
J’entends par là une prise de parole qui a découlé d’une observation, puis d’un questionnement, puis d’un choix des mots au regard du sujet traité.
Parce que oui, pour ceux qui l’auraient perdu de vue c’est ça de la pensée. De la vraie.
Réagir à chaud, ce n’est pas penser.
Réagir ce n’est que réagir, justement.
Ce n’est qu’un arc reflexe. Une parole conditionnée.
…Une bêtise.


Or cette bêtise c’est justement tout le sujet de cet ouvrage.
Et pas de n’importe quelle bêtise puisqu’il s’agit ici de la bêtise dominante.
…Dominante au sens où elle s’est imposée comme une norme ; où elle sature tous les canaux d’expression ; où elle se fait la manifestation du pouvoir de certains sur tous les autres.
Cette bêtise, c’est la bêtise des bourgeois.


Alors bien sûr, en vil socialiste de la vieille école que je suis, ça me plait qu’on crache sur le bourgeois, du moins en tant qu’acteur social.
Ça stimule mes bas-instincts. Ça me soulage. Et ça me flatte un peu aussi.
Sitôt Bégaudeau exprime-t-il une réflexion qu’on s’est déjà faite soi-même que forcément on se sent – à tort ou à raison – proche de cet orateur brillant.
Parce qu’elle est là la première grande force des ouvrages de gens qui savent penser.
Les gens qui savent penser savent en général aussi bien parler, et parfois même bien écrire.
« Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement… » disait l’autre.
...Toi-même tu sais.


Ce fut donc mon premier plaisir face à cette « Histoire de ta bêtise ».
C’est bien écrit.
Ça se lit tout seul. Rapidement. Sans effort.
C’est clair. Précis. Et surtout ça fait mouche parce qu’on sent qu’il y a un goût du mot. Une pensée du mot. Un plaisir du mot.
Allégories pertinentes et percutantes. Jeux de mots. Jeux de contraste. Rupture. Retour à la ligne…
On sent l’ancien professeur de Français à l’œuvre et surtout le lecteur qui a déjà longuement baroudé.
Bégaudeau sait écrire.
Rien que pour ça ce livre est louable.
…Qu’importe le propos tenu.


Seulement voilà, il faut qu’en plus de ça le propos soit précieux.
Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si un livre aussi fin a su faire couler autant d’encre ; s’il a su pousser autant d’éditorialistes à se faire son auteur.
On n’est blessé au fond que par ceux qui savent viser juste.
Les mots de Bégaudeau se lisent d’autant plus facilement qu’ils ont du sens. De la pertinence dans ce qu’ils dessinent ; dans ce qu’ils donnent à voir.
…Cette fameuse bêtise du bourgeois.


Or Bégaudeau le dit très bien : s’il y a bien une chose que le bourgeois n’aime pas c’est qu’on le nomme. Qu’on le décrive. Qu’on le situe.
Et c’est justement ce que fait ce livre.
Il a su trouver le bon nom. Il a su donner une fine description. Il a su relativiser la position.
Car Bégaudeau sait très bien de quoi il parle.
La bourgeoisie – quoi qu’il en dise – il en fait partie. Il la côtoie tous les jours.
Il connait les mots. Il connait les habitudes. Il en connait jusqu’à l’habitus.
Ce livre est d’autant plus percutant que son auteur est un averti.
Un bourgeois ne peut que se reconnaitre dans ce portrait.
Il est piégé. Il ne peut pas se débattre.
Il a beaucoup trop été pensé dans cet « Histoire de ta bêtise » pour qu’il puisse s’en sortir avec les mêmes pirouettes auxquelles il s’est désormais réduit.


Aussi peut-on se délecter de cet ouvrage comme d’un rapide pamphlet de la même manière qu’on pourrait se réjouir d’y voir également un révélateur sociologique.
Car quand bien même la lecture se veut légère et fluide qu'elle n’en demeure pas moins construite et détaillée.
La critique de Bégaudeau fait système. Elle perçoit tout aussi bien le bourgeois en tant que classe, en tant qu’acteur, qu’en tant que simple quidam.
Sa bourgeoisie est analysée jusque dans ses bouteilles de vin, ses films, ses séries, ses expressions toutes faites.
C’est parfois un peu gratuit, mais c’est toujours impactant.
Dans ce bouquin, par les mots de Bégaudeau, le bourgeois se retrouve nu.
C’est inconfortable certes.
Mais limite je serais un bourgeois, au fond de moi j’aurais envie de remercier Bégaudeau.
Le remercier pour m’avoir offert un tel regard privilégié.
Mais seulement le bourgeois ne le remerciera jamais.
…Et cela justement parce qu’il est bête.


Mais Bégaudeau insiste malgré tout sur un point ici fondamental.
Quand il s’agit ici de conspuer la bêtise du bourgeois, il ne s’agit pas de s’attaquer à une essence, mais plutôt à une posture.
Parce que la bêtise ici est presque un choix.
Un confort.
Et c’est clairement sur ce point-là que j’ai pris le plus de plaisir dans ce livre.
Empêcher la pensée sociale reste encore le meilleur moyen pour le bourgeois de rester en place.
Ne pas penser les classes c’est empêcher qu’on remarque que le bourgeois occupe la place de classe dominante.
Alors il faut invisibiliser les héritages. Inventer des mérites.
Il faut invisibiliser la violence aussi – du moins la violence produite par la bourgeoisie – afin de pouvoir ensuite systématiquement condamner toutes les autres ; toutes celles qui pourraient s’en prendre à son hégémonie.
Puis de là, ne reste plus qu’à instaurer une culture du cool. Définir les vrais combats. Ces combats qui ne sont pas ceux des classes. Racisme oui. Sexisme oui. Mais surtout pas classisme.
Tout sauf les classes.


D’ailleurs en amoureux des mots, Bégaudeau désamorce ceux du bourgeois, un à un.
Les extrêmes. Les populismes. Le déclinisme. L’ouverture…
En fait c’est la rigueur qui fait mouche.
Plus qu’une mise à nu, c’est à une déconstruction à laquelle on assiste.
Une vraie déconstruction sociologique. Sémantique.
A poil, le bourgeois a tout de suite l’air d’un con. Il n’aime pas ça.
Parce qu’il l’est : con.
N’ayant appris à se défendre qu'à grands coups de pensée magique et de mythes sociologiques qu’il a fini par oublier de réfléchir, de se cultiver, d’oser regarder les choses en face.
Et désormais il est piégé par sa propre bêtise.
Oser se regarder en face est désormais devenu trop dur.
Qui aimerait se savoir aussi détestable ?
Et surtout qui aimerait savoir cette détestation aussi légitime ?
Ne reste plus que le déni pour préserver le confort.
Elle est là toute l’histoire de cette bêtise.
Elle est là, mais pas que…


Parce qu’à côté de cette brillante lecture au vitriol, l’ouvrage contient malheureusement aussi une autre bêtise. Et cette bêtise c’est celle de son auteur lui-même.
Car il a eu beau l’avouer sans l’avouer, Begaudeau fait partie de la bourgeoisie.
Peut-être pas de cette bourgeoisie qu’il dépeint et qu’il a en horreur, mais d’une autre bourgeoisie qu’il ne sait pas voir – qu’il ne veut peut-être pas voir – parce qu’il est lui aussi habité par la bêtise propre aux gens de sa classe…
…Cette classe qu’Emmanuel Todd qualifierait de « petite bourgeoisie intellectuelle ».


Car non, il aura beau s’en défendre comme il le pourra, Bégaudeau est bien plus bourgeois qu’au regard de son seul appartement parisien.
…Et vivre dans le sale au milieu des peintures écaillées tout en faisant ses courses au Carrefour Market n’est clairement pas suffisant pour l’absoudre de sa bourgeoisie profonde ; cette petite bourgeoisie intellectuelle dont il est le produit conditionné.


Parce qu’il y a quelque-chose de presque drôle à entendre Bégaudeau se revendiquer prolo – ou du moins non-bourgeois – en rappelant que lui il allait voir du Mastroianni quand tous les autres allaient voir le « Ridicule » de Lecomte ; que lui il aimait le Rohmer révolutionnaire et non pas le Rohmer qui s’extasie sur le confort parisien ; que lui il sait aimer l’art prolétaire de Kechiche ou de Godard, les gros seins de Karin Viard ou bien encore les dents pourries du chanteur des Clash…
Mais mec… Qui aime mater du Kechiche et du Rohmer ? Qui est persuadé que Karin Viard et les Clash sont des icônes populaires ?
…Franchement.


Allez… A mon tour de projeter sur toi mon archétype de bourgeois Bégaudounet...
...A mon tour de te tutoyer.


Toi tu t’es plaint des gamins de gros bourgeois que tu as croisés dans ton lycée de centre-ville nantais, eh bien sache que de mon côté c’est toi qui me gonflais au lycée.
T’étais là à être méprisant et dédaigneux. Tu nous expliquais que toi tu écoutais de la vraie bonne musique. Tu nous disais à quel point toi tu voyais de vrais bons films. A quel point, toi, tu étais un vrai rebelle…
Tu fumais parce que t’étais un thug. Puis, quand tu t’es rendu compte que ceux qui fumaient c’était soit des gens comme toi, soit des gros kékos, t’as préféré passer à la weed histoire de dissiper tout malentendu.
D’ailleurs quand tu te mettais à planer tu ne voulais pas qu’on se méprenne non plus sur toi. Toi tu fumais pas la merde vendue par Rachid, le mec du pied d’immeuble. Toi tu avais « ton » dealer.
Parce que t’étais comme ça, toi. T’étais au-dessus de tout le monde.
C’était d’ailleurs pour ça que même si t'étais le premier à vouloir commenter les matchs de foot tu rechignais à les jouer.
Au foot il fallait être bon pour être au-dessus. Et être au-dessus c’était de toute façon pas bien vu au foot. Alors ouais, le foot c’était vraiment pas pour toi.


Toi tu finirais pas comme tout le monde. C’est ce que tes yeux disaient tout le temps.
C’était ce que t’espérais.
T’avais beau dire « no future » en permanence t’étais le premier à bachoter comme un porc, à afficher tes 19/20 à la dernière dissert de Français ou de philo.
Tu jouais un rôle. On le savait tous. Peut-être même plus que toi.
Personne voulait baiser avec toi à part les quelques rares niaiseuses qui croyaient à ton sketch ridicule.
Mais comme toi tu voulais pas baiser des niaiseuses – de quoi t’aurais eu l’air ? – eh bah du coup tu baisais pas. Et ça te frustrait.
Alors à la fin, les niaiseuses, tu les baisais quand même. Mais sitôt la chose faite qu’après t’envoyais la meuf bouler comme une merde. Parce qu’il fallait bien sauver ton image.


T’étais un connard.
Tout le monde le pensait. Même toi.
T’avais pas peur de le dire d’ailleurs avec un sourire en coin.
…Parce que toi t’étais persuadé que tu pouvais te permettre d’en être un.
Toi à la fin, grâce à ton 19/20 en Français, tu deviendrais un bourgeois.
Un bourgeois du même niveau que tous ceux que tu allais conchier trente ans plus tard dans un bouquin.


…D’ailleurs t’as réussi.
Bourgeois tu l’es bien devenu.
Mais le monde n’est pas totalement comme tes parents te l’avaient vendu.
Les études n’ont pas suffi. Les hauts fonctionnaires sont passés de mode.
(Les fonctionnaires aussi d’ailleurs.)
Devenu prof tu t’es rendu compte que ça ne ronflait que pour toi.
T’avais pas le respect. T’avais pas le statut. T’avais même pas la moula.
Tu t’es fait niquer. Dans les grandes largeurs. Et du coup t’as chopé la haine.
T’as chopé la haine des autres bourgeois parce que eux, contrairement à toi, ils n’ont aucun mérite.
C’est d’ailleurs pour ça que tu t’es mis à ne plus croire au mérite. Parce que s’il existait, c’est toi qu’en aurais. Forcément.
En les haïssant tu finis par te haïr toi. Parce qu’au fond tu es un peu eux. Tu penses un peu comme eux.
Au fond tu aspires à la même chose.
C’est d’ailleurs pour ça que tu les comprends si bien.


C’est aussi par cette pensée que tu parviens à sauver ton orgueil meurtri.
Grâce à tes réflexes bourgeois si bien intégrés, tu te convaincs que tu es un meilleur bourgeois qu’eux. Parce que toi au moins tu es cultivé.
Toi tu lis. Toi tu vois des films. Toi t’es pas pauvre, tu as choisi de vivre en bohème c’est différent. La vraie richesse tu l’as toi. Et tu ne te laisses pas corrompre par trop d’argent dont tu ne saurais de toute façon quoi faire.
L’argent pour toi ça ne sert qu’à acheter des livres. (L’appart ça ne compte pas tu penses bien. C’est juste pour avoir un toit comme tout le monde, quand bien même est-il à Paris.)


Le problème c’est que parfois le bourgeois lit. Le prolo lit.
…Et le cinéma ils en consomment aussi.
Alors du coup t’es un peu emmerdé.
Ton cinéma doit être meilleur. Tes bouquins aussi.
Ils faut qu’ils te distinguent, comme ton rock d'hier.
T’es bohème mais t’es pas un prolo non plus. Faut pas déconner.
Les prolos tu ne les aimes que tels que tu te les représentes : soit comme des gens qui voudraient devenir toi, soit comme des bêtes pittoresques auxquelles tu ne veux surtout pas ressembler.
Tu aimes Kechiche parce que – comme tu le dis si bien – tu aimes qu’on t’aime aimant Kechiche.
D’ailleurs dans la salle y’a que des gens comme toi.
Les prolos tu les veux bien sur ton écran de cinéma art et essai mais certainement pas sur le fauteuil d'à côté.
Faudrait pas qu’on oublie que toi t’es au-dessus…


Au fond t’es comme au lycée. Tu restes un sketch.
D’ailleurs ce sketch tu continues de le jouer au bahut, parce que maintenant t’es devenu prof et t’es entouré de gens comme toi.
D’un côté tu méprises tes collègues parce qu’ils te rappellent à ce que tu es. Tu leur ressembles trop.
D’un autre côté ils sont les seuls à vouloir croire en ta supercherie. Il suffit juste de croire en la leur en retour. Au bout d’un moment tout ça devient bien naturel de toute façon…


T’as pas changé, t’es toujours un faux rocker…
T’as juste troqué le blouson contre un bouquin de Kropotkine.
Le discours reste plus ou moins le même – tu peux continuer de faire le mec détaché, au-dessus de tout – mais au moins t’as plus de chance de choper de la bourgeoise avec ton pull débraillé qu’avec des dents gâtées…
…Mais bon, à la fin c’est bis repetita.
Tu chopes que de la prof.
Ça te plait pas. Tu vaux mieux que ça.
Mais bon, tu veux baiser quand même, alors tu fais comme d’hab.
De l’aigreur, du ressentiment et de la déception.
Au fond tu ne sais offrir que ça.
Parce que c’est ce que t’es.
T’es la caricature du petit bourgeois frustré.
Tu ne t’aimes pas mais tu t’es habitué.
Pire tu penses que l’amour n’existe pas.
Du moins pas cet amour là.
Chez toi il y a toujours un peu de calcul dans tout, et surtout dans les relations.
Et puis un peu de haine aussi...
...Toujours.


Mais assez parlé de toi.
Assez de te tutoyer.
C’est trop te faire d’honneur.
A peine quelques paragraphes et je me rends compte que je me transforme en toi.
En lui.
En Bégaudeau.


Si d’ailleurs vous avez trouvé ces quelques dernières lignes agressives alors vous aurez compris toute la limite que je trouve à cette « Histoire de ta bêtise ».
Oui, c’est bien écrit et parfois c’est jouissif de sentir le défoulement qui parcourt cette diatribe.
C’est animé. C’est vivant. Et qu’on aime ou déteste, on se laisse facilement guider.
Seulement voilà il y a aussi quelque-chose de sale dans cette écriture.
Et pas le genre de saleté que Bégaudeau assume sur son parquet.
Il y a cette jouissance à détruire ce dont on parle. Détruire avec les mots.
Et quand bien même je ne suis pas la cible de cette jouissance destructrice qu’elle me dérange malgré tout.
Sitôt se défoule-t-il trop que Bégaudeau devient tout aussitôt un autre bourgeois.
Un dominant refoulé qui, l’espace d’un instant, jouit du fait de pouvoir se comporter comme un dominant.


Comme quoi, même quelqu’un de la trempe et de la rigueur de Bégaudeau reste au fond un bourgeois comme un autre.
Brillant pour dénoncer la bêtise des autres…
…Mais toujours aussi aveugle à distinguer la sienne.

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le 5 mai 2021

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