Un récit autobiographique où la philosophe se livre durant l'année de la mort de son père. Elle raconte de manière très simple la maladie de son père ( tumeur au cerveau), son attachement, sa mort et la tristesse qui ne la quitte plus ensuite. Les premiers chapitres gagnent l'empathie du lecteur, puis le récit entrecoupé de mille digressions, et longs passages dénués de tout intérêt, donnent au livre un éloignement des émotions. Une lutte intérieure sincère mais trop de phrases, de mots redondants qui m'ont finalement agacée.