Tout ça pour ça !
Yanis, talentueux et fougueux autodidacte dans le bâtiment se sent à l’étroit dans sa collaboration avec Luc, le frère architecte de sa femme Véra, pragmatique et prudent. La rupture éclate quand Luc...
Par
le 24 août 2017
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Si tu pensais que ce roman allait te plonger dans une romance vibrante au rythme d’une playlist inoubliable, J’ai toujours cette musique dans la tête d’Agnès Martin-Lugand est là pour te rappeler que certaines mélodies finissent par tourner en boucle… jusqu’à l’épuisement.
L’histoire ? Vera et Yanis forment un couple parfait. Enfin, en apparence. Quand Tristan, un homme d’affaires charismatique, entre dans leur vie pour proposer une opportunité en or, tout bascule. Entre rêves de réussite, tensions conjugales et secrets qui s’accumulent, Vera va devoir affronter ce qu’elle fuit depuis trop longtemps…
Le gros point fort ? C’est fluide et facile à lire. On retrouve la patte de l’autrice, qui sait brosser des personnages ancrés dans le quotidien et mettre en scène des dilemmes émotionnels accessibles.
Le hic ? C’est convenu, prévisible, et parfois un peu plat. On sent venir les rebondissements de loin, les tensions sonnent mécaniques, et les personnages manquent d’un vrai relief pour nous embarquer totalement. On attend le grand crescendo émotionnel… mais la chanson reste sur le même refrain.
Bref, J’ai toujours cette musique dans la tête, c’est une romance dramatique qui se lit sans effort mais qui manque de profondeur pour vraiment marquer les esprits. À lire si tu veux une lecture légère pour un week-end pluvieux, mais ne t’attends pas à un tube inoubliable.
Créée
le 27 févr. 2025
Critique lue 10 fois
Yanis, talentueux et fougueux autodidacte dans le bâtiment se sent à l’étroit dans sa collaboration avec Luc, le frère architecte de sa femme Véra, pragmatique et prudent. La rupture éclate quand Luc...
Par
le 24 août 2017
3 j'aime
Faut arrêter, vraiment Agnès... J'ai attendu la 1ere moitié du bouquin qu'il se passe un truc...et puis rien. L'histoire est plus que lisse et sans aucun intérêt. Comme j'aime me faire du mal...
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le 24 juil. 2017
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