Dalí, à travers son journal, inspire et expire son appétit de vivre, sa passion du détail, son assiduité paranoïaque et critique. À déguster férocement, jusqu’à se tordre les dents, jusqu’à que la mâchoire grince et que cette succulente et comprimée diatribe vous repaisse. Vive Dalí, vive le fou qui savait qu’il ne l’était pas !

MarieLemaistre
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le 23 sept. 2018

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