le 13 avr. 2020
Fulgurances
La liberté ne se marchande pas elle se prend. Charles Bukowski incarne cet adage à travers ses personnages…à travers son personnage. Pour commencer s’affranchir des codes qu’ils soient moraux (se...
Application SensCritique : Une semaine après sa sortie, on fait le point ici.
J'ai emporté ce recueil de nouvelles partout avec moi durant l'été, ce ui ne s'est pas fait sans heurts : ses coins sont cornés, ses couvertures rayées et les pages gondolées d'avoir pris l'eau lors d'une nuit d'orage passée sous une canadienne plus vraiment imperméable. En finissant ce Journal d'un vieux dégueulasse ainsi abimé, j'ai réalisé qu'il était à l'image de son auteur : cabossé par les aléas de la vie, mais rempli d'une poésie atypique.
En effet, Bukowsky dépeint à la fois avec réalisme et exagération sa vie, s'inspirant de faits que l'on imagine réels pour créer - à coup de bières et de whisky - un portrait désabusé (et donc bien différent de celui dressé par les auteurs beats) de l'Amérique des fifties-sixties.
Créée
le 24 août 2013
Critique lue 1.2K fois
le 13 avr. 2020
La liberté ne se marchande pas elle se prend. Charles Bukowski incarne cet adage à travers ses personnages…à travers son personnage. Pour commencer s’affranchir des codes qu’ils soient moraux (se...
le 22 févr. 2014
Les gens ont parfois besoin qu’on leur mette une grande claque dans la trogne et faut reconnaître que le grand Buko excelle en la matière. D’entrée de jeu, rien qu’avec le titre, il nous met dans...
le 24 août 2013
J'ai emporté ce recueil de nouvelles partout avec moi durant l'été, ce ui ne s'est pas fait sans heurts : ses coins sont cornés, ses couvertures rayées et les pages gondolées d'avoir pris l'eau lors...
le 3 févr. 2013
Un pamphlet qui apporte quelques éléments intéressants, mais qui ne permet pas de soutenir une critique de la société actuelle. Beaucoup de choses ont changé depuis le XIXe siècle, et les exemples...
le 11 janv. 2013
Les 10 premières minutes sans le moindre dialogue, un travail méticuleux apporté à la réalisation de chaque scène, et un Daniel Day-Lewis monstrueux. Un chef-d'oeuvre.
le 15 mai 2012
Si l'œuvre de Kubrick est, pour moi, un chef d'oeuvre, Orange mécanique se démarque de tous les autres films du génie, parce qu'il est un croisement entre plusieurs genre de cinéma, parce que...
NOUVELLE APP MOBILE.
NOUVELLE EXPÉRIENCE.
Téléchargez l’app SensCritique, explorez, vibrez et partagez vos avis sur vos œuvres préférées.

À proposNotre application mobile Notre extensionAideNous contacterEmploiL'éditoCGUAmazonSOTA
© 2025 SensCritique