Ce livre avait tout pour me plaire. L'histoire de Modesta me paraissait tellement bien tellement belle, pleine de sujets qui m'intéressent. Ça partait bien, tout était là...seulement voilà.
C'est pénible à lire...
Pénible comme de lire une pièce de théâtre. Une pièce de théâtre sans didascalies.
Il n'y a QUE des dialogues. Des dialogues sans fin, entre machin et truc qui parlent de bidule et à la fin, on s'y perd.
Alors on sent que l'auteur a voulu un peu aider le lecteur parce que dans ces dialogues interminables, ils s'appellent par leurs prénoms une phrase sur deux ("tu vois ce que je veux dire Ginette ? - oui, tout à fait Cunégonde - et tu penses que Raoul serait d'accord Ginette ? - oh oui, je pense que Raoul serait d'accord Cunégonde" ... et encore, je vous passe les surnoms). Bilan : j'ai trouvé ça super super lourd.
Et puis à force de parler parler parler : ben moi 1/ j'ai soif pour eux 2/ j'ai l'impression qu'il ne se passe rien.
Ce livre c'est l'histoire de gens qui sont dans une pièce et qui parlent.
Voilà, je suis encore passée à coté d'un livre que tout le monde a aimé.
Désolée.