Fiche technique

Titre original : The Gap into Power: A Dark and Hungry God Arises

Auteur :

Stephen R. Donaldson
Genre : RomanDate de publication (pays d'origine) : Langue d'origine : Anglais

Traducteur :

Patrick Marcel
Parution France : mars 2007

Éditeur :

Mnémos
ISBN : 9782915159950, 9782915159950, 9782266055307

Résumé : Ils sont des fugitifs en provenance de mondes hors-la-loi, de vieux ennemis piégés sur un port spatial renégat Sur Thanatos Mineur, un planétoïde niché au bord de l'espace interdit, les illégaux pactisent avec les Amnion, maîtres des mutations et ennemis de l'espèce humaine.Pour détruire ce bastion de la trahison et porter un coup fatal aux pirates, Warden Dios, directeur de la police, aligne ses pions : Angus Thermopyle, meurtrier muselé par la cybernétique, Milos Tavemer, mouchard aux troubles allégeances, chargé contre son gré de la surveillance d'Angus ; Nick Succorso, traqué par les vaisseaux ennemis, tourmenté par sa haine, acculé par les promesses qu'il ne peut tenir; Mom Hyland, brisée mais jamais vaincue «Ce n'est qu'un Dragon. Pas Dieu.- En effet. Et vous n'êtes ni l'un ni l'autre. Je parie que vous pourriez saigner, s'il vous arrachait le coeur.»» Stephen Donaldson est né en 1947. Il est l'auteur de la colossale saga de fantasy Les Chroniques de Thomas Covenant. Dans le Cycle des Seuils, il déploie une intrigue majeure à l'échelle galactique.Traduit de l'anglais (ÿtats-Unis) par Patrick Marcel.Extrait du livre :WardenDE SON CENTRE OPÿRATIONNEL PERSONNEL AU QGPCMU, Warden Dios regarda l'Olifant traverser d'une course fluide l'espace de contrôle de la Station. Hormis Min Donner, directrice de la Division Intervention et, à l'occasion, garde du corps de Dios, il était seul : il avait même renvoyé les technos de communication censés assurer la liaison permanente avec tous les secteurs et toutes les fonctions de la PCMU. Il n'avait pas verrouillé la porte, mais il avait coupé les micros, les écrans et les enregistreurs du centre opérationnel.La solitude était rare pour le directeur de la PCMU. Le silence, plus rare encore. La compagnie de Min n'était peut-être pas une solitude parfaite ; mais au moins ne parlait-elle pas sans avoir