Comme le dit si bien chat GPT, on a ici"un écrivain qui transforme son incapacité d’assumer la morale en programme esthétique et philosophique" ou "il magnifie l’intensité comme horizon supérieur, alors que cette intensité n’est souvent qu’un hédonisme intellectualisé". Robot 1, Musil 0. Ça ne fait pas de l'"homme sans qualités" un roman inintéressant, au contraire. Il a valeur de contre exemple. Voici où mène l'esprit lorsqu'il est mal employé. Comme l'écrit Victor Hugo qui est tout de même un penseur plus efficace: "la pensée est le labeur de l'intelligence, le rêve en est la volupté. Substituer la rêverie à la pensée, c'est confondre un poison avec une nourriture".