L'île aux enfants , c'est pas tous les jours le printemps

4/10 ... plus de 3 semaines pour le finir (en général je mets 6 à 10 jours sur ses longs romans). Au début c'est prometteur puis on "sombre" dans des détails dont véritablement presque personne va lire en entier.

La description est une arme qui peu se retourner contre son oeuvre.

Cette fois-ci les informations sont totalement inutiles sauf pour des amateurs historiens des îles du 19 ième siècle et leur orographie et leurs nourriture . J'ai pas compté mais il y a au moins une cinquantaine de descriptions des îles qui n'apportent pas grand chose ; une liste de descriptions en copier-collé. Je sais qu'il fallait qu'il remplisse pour Hetzel
, mais là c'est bien pire que ses moins bons romans.

L'histoire traîne (avec ces descriptions on oublie pourquoi on lit ce roman , on se met a regarder le mur pour éviter l'ennui abyssal)

Bref un bon début prométeur , ensuite 3/4 d'imbuvabilité (néologisme ?) et une fin ou on aurait aimer qu'ils se pètent la tronche entre eux jusqu'au bout ... et que L'île à hélice devienne L'île aux morts vivant ... mais bon c'est pas game of Thrones... le livre est bien trop violent par rapport à çà. Bon il y a tentative de bouffer un personnage mais .. non ... l'histoire en avait besoin .. on peut pas tout avoir.

Donc je conseille aux amateurs (pas trop faux-cul) de le lire et de mettre une note sur le ressenti et non sur le nom de l'auteur.

Sinon j'aime bien Le Jules , mais parfois il boit un peu trop d'abscinte.

Je prie Appolon pour que le prochain Jules ne sera pas un cachet de valium de 20 mg.