Alexandre Jardin reprend du Zèbre cette interrogation sur l'alimentation de la flamme de la passion première dans le couple, qu'il prête à des gauchers sécessionnistes. Il cite d'ailleurs ce roman de 1992.
Le style est humoristique, et l'auteur va assez loin dans le genre. Le sexe y est assez présent. Et, malgré ces éléments, ce roman est à la fois drôle et tendre, tout en permettant de s'interroger sur sa vie privée, le couple et l'amour, dans tous ses sens.
Il est original, permet de réfléchir et de passer un bon moment.