L'occitanienne, le dernier amour de Châteaubriand

Fiche technique

Auteurs :

Jean Périssé, Alain Paraillous
Genre : EssaiDate de publication (pays d'origine) : Parution France : mai 2008

Éditeur :

Clairsud
ISBN : 9782952477635

Résumé : Jean Périsse (réalisateur TV & cinéma) et Alain Paraillous (écrivain), deux amis de collège, après s'être perdus de vue pen­dant plus de 40 ans, se sont retrouvés au hasard d'une librairie lors d'une séance de signatures. De cette rencontre est née une fabuleuse aventure : un film de long métrage-réalisé, mis en scène et produit par Jean Périsse : «L'OCCITANIENNE, le dernier amour de Chateaubriand». Voici l'adaptation scénarisée et «story-boardée» qu'il a faite d'un texte inédit d'Alain Paraillous, inspiré d'un court extrait des «Mémoires d'outre-tombe» de René de Chateaubriand. Le sujet.- qui a suscité en son temps une grande curiosité littéraire et biographique - reprend l'histoire vraie du dernier amour de Chateaubriand avec une jeune femme de l'aristocratie toulousaine, qui apparaît dans ses écrits sous le nom de l' «OCCITANIENNE».L'action se déroule en 1829 à Cauterets à la haute époque du pyrénéisme, un soir de violent orage.Il s'agit d'un huis-clos à trois personnages : l'écrivain René de Chateaubriand vieillissant (interprèté par Bernard Le Coq), la jeune Léontine de Villeneuve (Valentine Teisseire) enflammée de passion pour le grand homme et un maître d'hôtel (Robert Souza), poète dans l'âme, qui, pour la circonstance, se fera, malgré lui, veilleur de nuit et témoin-voyeur bienveillant. «L'OCCITANIENNE, le dernier amour de Chateaubriand» est un film produit par la société toulousaine Clairsud.Extrait du livre :01. INTÉRIEUR, BUREAU DE CHATEAUBRIAND À PARIS, JOUR. La pointe biseautée d'une plume d'oie plonge dans l'encrier de verre se débarrasse au goulot de son trop-plein, par une légère touche, avant de crisser sur une feuille de papier, la main qui la guide est mouchetée de taches brunes. C'est celle de Chateaubriand, âgé de 60 ans.VOIX DE CHATEAUBRIAND. «Paris, 2 juillet 1829. Je ne puis guère partir avant le 15 : ainsi, vous serez à Cauterets avant moi. Je vais donc voir mon inconnue ! Mes songes se changeront en réalités et vos illusi