Bienvenue dans le guide ultime de la galère en Terre des Six-Duchés, où être bâtard royal n’est pas un avantage fiscal mais une condamnation à une enfance plus rude qu’un hiver dans le Nord. Fitz, l’anti-héros par excellence, démarre dans la vie avec un combo malus : orphelin, rejeté, et recruté pour un job avec une espérance de vie limitée – assassin royal.


Robin Hobb ne nous épargne rien : trahisons, manipulations politiques, blessures physiques ET émotionnelles (oui, ce livre est un marathon de souffrance littéraire). L’autrice tisse une fresque où la magie, nommée Art et Vif, n’est pas là pour lancer des boules de feu, mais pour se prendre des claques mentales et, au mieux, discuter avec un chien.


C’est dense, c’est bien écrit, ça t’accroche l’âme et ça te fait comprendre que la fantasy, c’est pas juste des épées et des dragons, mais aussi des intrigues de cour plus perfides que trois saisons de Game of Thrones.


En bref : une plongée immersive, douloureuse, magnifique… et franchement addictive. Tu souffriras, mais tu en redemanderas.

CinephageAiguise
9

Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Les meilleurs livres des années 2000

Créée

le 4 mars 2025

Critique lue 9 fois

Critique lue 9 fois

D'autres avis sur La Citadelle des ombres 1 - L'Assassin royal, intégrale 1

Du même critique

L'Iris blanc - Astérix, tome 40
CinephageAiguise
7

Peace, amour et baffes gauloises

Astérix, c’est un peu comme un banquet chez Abraracourcix : on y revient toujours avec plaisir, même si parfois le sanglier est un peu moins savoureux que d’habitude. Avec L’Iris Blanc, Fabcaro prend...

le 31 janv. 2025

6 j'aime

Les Misérables
CinephageAiguise
8

Entre grandeur, misère et digressions XXL

Si tu pensais que les classiques du XIXe siècle étaient juste de belles histoires d’amour contrariées, Les Misérables de Victor Hugo est là pour te rappeler qu’on peut aussi écrire un pavé où se...

le 19 févr. 2025

5 j'aime

7