Plus jamais je ne regarderai un copeau de bois sans repenser à ce livre !
Ce combat entre la dignité et la faim, bien que rédigé il y a 130 ans, nous prend aux tripes.
cet extrait résume assez bien, à mon sens, l'impression générale que nous laisse cette lecture :
« Le pauvre intelligent était un observateur bien plus fin que le riche intelligent [...] chaque pas qu’il fait lui-même impose à ses pensées et à ses sentiments un devoir, une tâche. Il a l’oreille fine, il est impressionnable, il est un homme d’expérience, son âme porte des brûlures… »