Rachel se rend à son travail à Londres par le train et rentre le soir par le même moyen de transport. Très souvent, le train s’arrête au même endroit. Là, dans la maison en contrebas, Rachel imagine la vie de ses habitants, qu’elle appelle Jess et Jason. Jusqu’au jour où elle surprend Jess avec un autre homme et qu’elle disparaît.
Roman qui m’a tenu, par sa forme, ses indices donnés au compte-goutte, son héroïne, une femme ordinaire, au moins 180 pages. Les femmes que décrit l’autrice sont des femmes que l’on peut rencontrer tous les jours : elles tentent de remonter la pente après une séparation, elles sont culpabilisées si elles ne peuvent ou ne veulent pas d’enfant, insultées et méprisées si elles boivent, tenues dans leur rôle de femme au foyer par des hommes.
180 pages disais-je, parce que qu’ensuite, c’est long, très longe et répétitif : on a compris le truc, c’est bon Mme Hawkins, pourriez-vous aller un peu plus vite SVP ? Parce que , des pages, il y en a quand même 450 ! J’eus préféré que vous condensassiez, que vous réduisissiez de moitié.
Bref, bon début, mais très long, trop long et finalement un poil décevant.