Œuvre typique d'une vision science-fiction qui en devient presque un documentaire d'anticipation.

Une vie standardisée, une pensée dictée, une tyrannie démocratique doucement ancrée, l'abandon de l'esprit critique, l'ascension des idées, le culte de l'abstrait, un monde retiré de la Nature, ancré dans les entrailles de la Terre.

'The Machine Stops', c'est la Planète des Singes à Metropolis : les caves sont les seuls lieux de vie et la modernité a achevé de détruire notre rapport à la vie, aux émotions.

OBEY.
thom4
9
Écrit par

Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à ses listes Tempête de cerveau, Ça se lit en un clin d'œil, Plus tu le relis, plus tu l'apprécies et Lu en 2014

Créée

le 6 déc. 2014

Critique lue 546 fois

2 j'aime

thom4

Écrit par

Critique lue 546 fois

2

Du même critique

Under the Skin
thom4
1

Détournement de fonds publics

Intrigué par l'affiche du film reprenant le code des films de SF des années 1970 (précisions le siècle pour la postérité) et par la présence de Mrs Scarlett, je décide d'investir deux heures d'un...

le 16 mars 2014

7 j'aime

1

Les Jeux vidéo, ça rend pas idiot !
thom4
8

“Avant on jouait au Monopoly, aujourd'hui on joue aux jeux vidéo”

En trois heures de lecture, j'ai un peu mieux compris d'où je venais. Pourquoi les jeux vidéo m'ont plu tout gamin. Pourquoi j'aimais jouer avec mon père. Pourquoi j'aimais jouer avec mon...

le 26 nov. 2012

7 j'aime

2

River
thom4
10

Dick River

River, c'est une photo impeccable et léchée, des coins de rues londoniennes qui rappellent le style de Luther — autre courte mais grande série policière britannique. Fatigué, j'ai peiné à passer les...

le 12 déc. 2015

6 j'aime