le 26 avr. 2010
OLNI : Objet Littéraire Non Identifié.
Croyez-moi : jamais vous ne lirez roman plus étrange que celui-ci. Il suffit de feuilleter ce gros pavé pour comprendre, chaque page paraît totalement différente que la précédente : la police...
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La Maison des feuilles m'a prise et ne m'a jamais lâchée depuis. Dès que j'ai ouvert le livre, j'ai su que j'étais face à quelque chose d'inhabituel, et que je ne lirais pas simplement ce livre, mais que je le vivrais. J'ai passé des journées entières, absorbée par cette anomalie littéraire passionnante.
C'est compliqué d'en faire une vraie critique sans trop en dire, je me contenterai donc d'exposer mon propre ressenti. J'ai ri, j'ai pleuré, j'ai tourné frénétiquement les pages, espérant parfois m'être trompée sur ce que je lisais, j'ai adoré faire comme mes prédécesseurs et personnages de l'histoire : prendre des notes, analyser, essayer de comprendre les choses qui dépassaient mon entendement. On suit plusieurs histoires reliées et intriquées, et quand on finit de lire la dernière page, ce n'est en fait que le début. Le début d'un long périple pour tenter de percer les secrets de la maison, du Minotaure, de Johnny, de Davy... jamais un livre ne m'avait procuré telle sensation.
Je ne suis pas une très grande lectrice, et c'est peut être pour ça que j'ai tant aimé ce bouquin : je l'ai ouvert et ne l'ai fermé qu'une fois la dernière page dévorée. J'invite quiconque à se laisser tenter par cette terrifiante maison et à se perdre dans ces couloirs que j'ai tant aimé arpenter des heures durant.
Créée
il y a 3 jours
Critique lue 2 fois
le 26 avr. 2010
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5
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10
il y a 3 jours
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