Le style est lourd est laborieux, l’accumulation de « et » et l’absence de ponctuation dans les dialogues rendent le livre aussi pénible à parcourir que la route du sud ne l’est pour ses protagonistes (à dessein ?)
Thème chéri de la pop-culture, l’ère de la post-apocalypse de notre ami Cormac laissera de marbre tous les passionnés du genre tant ils auront vu et lu de bien meilleures versions ailleurs.
« La route » est l’exemple même de l’ignorance et du snobisme des boomers littéraires pour la pop culture, qui gagne un prix lorsque c’est un auteur célèbre qui s’y intéresse.