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Univers dystopique pour ce premier roman qui adopte le genre du conte pour camper le décor d’une contrée où l’identité est assimilée à la fonction, et donc variable selon les aléas du parcours,...
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le 14 févr. 2025
Univers dystopique pour ce premier roman qui adopte le genre du conte pour camper le décor d’une contrée où l’identité est assimilée à la fonction, et donc variable selon les aléas du parcours, d’autant que la fonction peut être revendiquée et soumise à un combat qui aboutir à une Destitution si le quémandeur l’emporte contre l’ancien tenant du titre !
Les relations sociales évoluent donc sur ce modèle, d’autant qu‘on a guère d’information sur ce qui se passe au-delà des limites du territoire. L’arrivée d’un homme qui d’emblée réclame le statut d’Aventurier vient semer la discorde, tout en suscitant la curiosité, car l’homme a déjà pris part à la vie du village et ce qu’il a vécu ailleurs intéresse particulièrement l’écrivain du village.
Sur un ton parfois naïf, avec des formules peu élaborées, peut-être pour renforcer l’idée d’outre-monde, se crée un modèle qui, en miroir, nous entraine à comparer. Une réflexion sur l’identité, sur le rêve d’un ailleurs, avec ses dangers et ses espoirs, la violence inhérente au mode de vie…tout un panel de concepts qui auraient pu être plus approfondis.
Créée
le 14 févr. 2025
Critique lue 23 fois
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le 14 févr. 2025
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