Page 444 ce sera un abandon définitif pour moi... J'ai essayé plusieurs fois, avec des pauses plus ou moins longue entre chaque tentatives, mais rien n'y fait. Je voulais absolument aimer les romans de Damasio, j'adore ses articles (dans Socialter par exemple) et ses interviews/ conférences, mais les romans j'y arrive pas. Déjà ya cette espèce de gouaille-punk-futuriste, j'ai l'impression d'entendre Raphaël Quenard parler, je trouve les dialogues insupportables. Sauf peut être le climax
La joute verbale entre le président et Capt, c'est sûrement le meilleur chapitre du bouquin, la pure joie de se retrouver face au maître du jeu pour lui dire tout ce qui va pas , et lui de te répondre de manière cynique "mais je le sais très bien, mais c'est le prix de la paix sociale". Bien qu'un peu fantasmé, car nos dirigeants n'ont aucunement le niveau intellectuel de P nI sa maîtrise des arcanes du système.
Mais sinon difficile de décrire précisément ce qui m'a dérangé. C'est très verbeux, très universitaire (comme le job du personnage principal) et l'intrigue autour des dissensions dans le mouvement (ré) volution aire La Volte n'est pas super intéressant en fait tout simplement.