Il faut couper la mèche qui brûle avant que l'étincelle n'atteigne la dynamite

(Copié-collé de ma fiche de lecture perso sur le livre)



L'auteur



Andreas Malm est maître de conférences en géographie humaine en Suède et militant pour le climat. Il est l'auteur de plusieurs livres non traduits en France aujourd'hui sur les liens entre le capital et les énergies fossiles. A travers 4 articles réunis dans ce livre, il explore ces liens.



Le livre, ses idées principales



Avant-propos


L'Homme n'est pas responsable du changement climatique, seuls certains hommes le sont. A l'origine du mot "Anthropocène", Paul Crutzen, prix nobel, a proposé ce terme dans la revue "Nature" en 2002. Il y trouve comme point de départ l'invention de la machine à vapeur, qui a enclenché une économie de croissance basée sur la combustion d'énergie fossile entrainant une émission croissante du C02. Hors, la machine à vapeur est le fait d'hommes blancs d'affaire britanniques au début du XIXe, et donc le changement climatique est le fait de ces hommes là en particulier tout d'abord. Par la suite, l'électricité, le moteur à combustion etc... ont tous été introduits sans débat démocratique préalable par des hommes blancs occidentaux possesseurs de moyens de production. Toujours aujourd'hui, une portion significative de l'humanité ne prend absolument pas part à l'économie fossile : certains polluent des centaines de fois plus que d'autres.
Ce livre est donc une critique de la notion d'anthropocène, et analyse comment le monde qui se réchauffe est bien un monde de fractures profondes entre humains et non le fait de toute une espèce.


Chap 1. Qui a allumé ce feu ? Pour une histoire de l'économie fossile


Selon l'auteur, aujourd'hui, la priorité est d'étudier l'histoire dans le climat pour plusieurs raisons :
-Connaître les forces sociales qui ont développé la consommation d'énergie pétrole, permettrait de mieux lutter contre ces forces aujourd'hui.
-Connaître l'histoire des alternatives à ces fossiles, permettrait d'imaginer une porte de sortie.
-Faire une analyse historique de la combustion historique de chaque pays et de ses raisons etc... permettrait de couper les querelles de responsabilités de chacun.
-Même s'il n'y a aucune sortie, il serait toujours intéressant de savoir pourquoi l'humanité a fini par vivre sur une planète invivable.


Le point de départ du changement climatique reste le début de la consommation à grande échelle des combustibles fossiles. L'auteur développe alors la notion d'économie fossile : économie de croissance fondée sur la consommation croissante de ces énergies et donc une croissance du CO2 émis. Une fois ces foyers de combustion construits, ils ont été agrandis et renforcés. C'est tout cet héritage qui est dangereux aujourd'hui. Comme les centrales et les autoroutes sont là, il est facile et moins cher de continuer à les utiliser. Le passé a le pouvoir d'accroître les émissions. Il faut donc revisiter le passé avec les conséquences d'aujourd'hui en tête. Il faut s'intéresser à l'histoire de l'économie fossile.


L'exemple de la domination Anglais en Inde : progressivement, l'Angleterre a commencé a exploiter le charbon en sous-sol indien dans les années 1820-1830. D'abord utilisé principalement pour les bateaux à vapeur qui servaient aussi bien à affermir le pouvoir anglais sur le continent et à exploiter ses richesses, ils seront utilisés par la suite par les trains. La main d’œuvre était locale, et forcée à descendre dans les mines par les colons anglais. Elle était le principal problème des anglais, car réticente à descendre dans ces mines. Durant le XIXème, l'Angleterre a prospecté toute la planète pour trouver du charbon. Le charbon est devenu l’emblème de la puissance anglaise, et a soumis le monde à la logique de l'économie fossile.


On peut voir plusieurs limites à la notion d'anthropocène qui s'est imposé dans beaucoup de recherches sociales et historiques. Pour rappelle cette notion veut que l'homme ait mis fin à l'Holocène, en changeant lui-même la concentration en CO2 et la température. 
→ 1er problème : certains développent un récit autour de cette notion en prenant pour point de départ, la maitrise du feu. Or, beaucoup de peuples (colonisés par les britanniques) maitrisaient le feu, connaissaient le charbon et ses propriétés, et pourtant n'avaient pas d'économie fossile. Les anglais leur ont imposé. Le feu ne peut donc être la naissance de l'économie fossile. De même, on ne peut expliquer là où nous en sommes aujourd'hui par la condition bipède, l'alphabet... Ces évènements sont compatibles avec d'autres économies et sont trop lointain pour avoir un lien aussi direct avec le XIXème.
-> 2nd problème : dans le récit de l'anthropocène, on parle d'espèce humaine, en éludant les groupes sociaux spécifiques. On considère l'homme responsable du changement climatique comme acteur unique et unitaire. C'est la classe dirigeante britannique d'abord, puis française et américaine parmi d'autres, qui ont mis le monde sur cette voie, en poursuivant leurs intérêts matériels. Il faut donc écarter les connotations biologiques de la notion d'anthropocène. 
→ 3ème problème : un changement d'ère géologique impose de voir un changement très net et global. Or, les différents points de départ proposées de l'anthropocène (la vapeur, une chute brutale du CO2 en 1610, ou encore la 1ère bombe atomique) ne correspondent pas à une définition purement géologique. Conclusion : la notion d'anthropocène peut être utile à l'étude de l'économie fossile si on se débarrasse de cette notion d'espèce (anthropos) et de la notion de changement net (kainos). 


L'auteur pose également la question de l'URSS et du Stalinisme qui ont beaucoup émis de CO2 sans être liés à un système capitaliste. L'extraction de combustibles fossiles en URSS a longtemps reposé sur le travail forcé. Forcé ou non, cette notion est la base de l'économie fossile capitaliste. On ne doit pas oublier que le stalinisme est mort, et que le capitalisme bien vivant. Le capitalisme continue de détruire la terre aujourd'hui, et au final les émissions du stalinisme ne sont responsables que d'un fragment des émissions de CO2, qui continue de réduire aujourd'hui à mesure le capitalisme en produit. Aujourd'hui, c'est bien le capital fossile via par exemple les principales multinationales pétrolières qui font pression à toute réglementation, continuent et étendent l'extraction aujourd'hui. 


En conclusion, l'auteur avance alors la notion de Capitalocène se focalisant sur l'étude de l'économie fossile, en particulier le capital fossile, et encore plus précisément ce groupe de personnes assez réduit évoqué plus haut qui y est à l'initiative et continue d'y participer. Il n'y a aucune égalité de responsabilité entre les pauvres et les riches aujourd'hui sur le changement climatique.


Chap 2. Les origines du capital fossile


L'économie fossile est une économie qui se caractérise par une croissance soutenue fondée sur une utilisation croissante des énergies fossiles et donc une croissance des CO2. Elle est donc profondément liée à la production de marchandises, et donc au travail salarié/forcé. La science du climat s'intéresse énormément aux effets dévastateurs, mais moins aux moteurs du changement climatique. L'auteur tente d'apporter sa pierre à l'édifice de l'histoire de l'économie fossile. 


L'économie fossile est née en Grande-Bretagne dans la première partie du XIXème siècle. C'est en 1784, avec l'invention de la machine à vapeur de James Watt que tout se joue. Il a réussi à créer un mouvement circulaire continu, qui a rendu sa machine utilisable à tous les usages de la manufacture. Or, l'invention d'une machine en soi ne suffit pas à expliquer l'économie fossile, il faut voir la raison de son adoption et de sa diffusion. Le succès de la machine à vapeur se fera dans l'industrie du coton et se poursuivra dans les autres industries par la suite. Pourtant à la base, sa force motrice était la roue hydraulique. Pendant 40 ans après le brevet de Watt, elle était le moteur privilégié des industrie du coton, il a fallu la faire tomber pour créer l'économie fossile. 


L'origine de l'économie fossile repose alors sur cette question : pourquoi l'industrie du coton est-elle passée de l'eau à la vapeur ? 


1ère explication : le paradigme Ricardiano-Malthusien.
→ Ricardo voyait les limites à la croissance dans la terre (surfaces cultivables, de forêt...). Le charbon, sous-terre, par définition a fait exploser ce plafond de croissance. 
→ Malthus (et des chercheurs qui se sont servi de ses théories) voyait une démographie croissante qui de fait épuisait les ressources naturelles qui elles n'étaient pas illimitées. La révolution industrielle serait donc une réponse à une pénurie d'énergie (bois...) et à une explosion de la démographie.  Selon cette théorie, les roues hydrauliques ont été délaissées car elles ne pouvaient répondre aux quantités d'énergies demandées (par l'explosion de la démographie, la raréfaction des bons sites avec des cours d'eau...). 


Critique de ce paradigme : 
→ La limite à la croissance dans la terre n'a que peu à voir ici, puisqu'on parle de force liée à l'eau, et le charbon n'a jamais remplacé l'homme pour produire de la force motrice avant. 
→ Surtout ce paradigme part de l'hypothèse qu'il y a un besoin inexplicable, une loi de la nature, qui pousse l'humanité à croître toujours plus. Il rejette donc ainsi tout antagonismes sociaux, de rapport entre capital/travail, et de spécifités. Comme si l'économie fossile était le fait de tous les hommes de manière unie et harmonieuse. 


Si la machine à vapeur a commencé à être adoptée à la fin du XIXème, elle a attendu les années 1830 pour s'imposer. Pourquoi tant de temps, et surtout pourquoi la vapeur a détrôné l'hydraulique ?
→ L'explication ne provient pas d'un manque de cours d'eau. Seuls quelques pour cent des cours d'eau étaient utilisées par l'industrie, laissant un potentiel d'expansion énorme pour la roue hydraulique. 
→ L'explication ne provient pas non plus d'un gain de puissance des machines à vapeur, car elles restaient moins régulières et puissantes que les roues hydrauliques à la transition en 1830-1840. 
→ L'explication ne vient pas d'un coût économique moins cher, puisque la vapeur était toujours plus cher que l'hydraulique. L'eau était gratuite au contraire du charbon notamment. L'hydraulique restait moins cher que la vapeur jusqu’aux années 1870 bien après la transition. 


On peut donc expliquer la transition par plusieurs facteurs : 
-Le lieu d'implantation des usines hydrauliques. L'intérêt de la vapeur était qu'on pouvait mettre sa manufacture où on voulait, pas besoin d'un cours d'eau, et donc de l'implanter au sein d'une ville avec beaucoup de main d'oeuvre disponible, les cours d'eau étant éloignés généralement des villes et donc de la force de travail. Une usine près d'un cours d'eau constituait des coûts de construction énormes (maisons d'ouvriers, routes, église...), pour accueillir les ouvriers.
-L'irrégularité de l'eau et l'impact des grèves de 1830. L'eau était irrégulière par nature avec les saisons. Les ouvriers étaient alors obligés de faire des journées extrêmement longues dans les bonnes périodes, pour en faire moins pendant les périodes plus sèches, pour assurer une rentabilité au propriétaire. Ce sont ces journées à rallonge qui ont créer des grèves monstrueuses en 1830 qui demandaient une limitation des heures. Les capitalistes du coton dépendant de l'eau, étaient donc ceux qui avaient le plus à perdre d'un plafonnement des heures de travail par jour. La loi de 1847 sur les dix heures a donc participé à achever les usines hydrauliques car elles n'étaient finalement plus viables comparé à la vapeur. L'eau était moins compatible avec le respect de la loi que la vapeur.


-Cette transition de l'eau à la vapeur, a évidemment fait exploser la demande de charbon, et donc son exploitation en Grande-Bretagne. Toute la prospérité des propriétaires d'usine se basaient désormais sur cette énergie. La croissance n'est donc pas une propriété de l'espèce humaine mais bien liée aux rapports de production capitaliste. Et le profit donc, l'horizon qui gouverne la production capitaliste. Or, cette poursuite du profit impose de base la consommation de matériel pour engager le processus de production, ici le charbon. A la différence du coton utilisé pour littéralement fabriquer la marchandise, le charbon est devenu le levier général de toute la production car il fait tourner les machines et est donc le pivot des moyens de production et donc de la création de profit. Et donc plus le capital/la recherche de profit se développe, plus le charbon est consommé. Ainsi, l'accroissement constant des quantités de CO2 émises est une part nécessaire de l'accumulation de capital. 


L'auteur conclut par une hypothèse sur l'échec des énergies renouvelables. Le capitalisme a changé le temps et l'espace. Le travail est assigné à des lieux et des moments particuliers strictement réservés à la production de valeur, en déconnexion complète avec le reste de la nature.La généralisation d'énergies renouvelables requerrait de bousculer cet espace-temps du capitalisme car besoin de placer panneaux solaires, éoliennes etc... dans des zones ensoleillés, venteuses, et potentiellement loin des villes créées par le capitalisme. Il impliquerait d'être dépendant de la nature à nouveau. Le pétrole, le charbon peuvent être envoyés n'importe où, en particulier là où les capitalistes en ont besoin : en Chine etc... Les énergies renouvelables se marient mal avec le capitalisme. Il semble donc très compliqué de généraliser les énergies renouvelables dans un monde capitaliste, même si celles-ci seraient en capacité de couvrir les besoin énergétiques mondiaux. 


Chapitre 3. « L'enfer c'est ça » : quelques images dialectiques dans la fossile-fiction


L'auteur imagine que le changement climatique change notre manière de lire la littérature. On relis les textes anciens, à l'aulne des catastrophes d'aujourd'hui et futures. Un texte qui parle de chaleur, de désert, de soleil, pouvait évoquer un certain nombre d'allégories dans le passé. Avec le réchauffement aujourd'hui, quand on lit ces termes on pense d'autres allégories, le désert évoque un futur pour de nombreux territoires, la chaleur évoque également le futur du climat etc... Il avance la notion « d'allégories matérielles ». 
L'auteur précise que si analyser les anciennes catastrophes naturelles, pour imaginer les réactions aux nouvelles plus abondantes est intéressant, il ne faut pas oublier que les prochaines ne seront pas naturelles mais dues aux énergies fossiles. Il imagine un type de littérature à même de développer ces thématiques : la fossile-fiction. Il semble important selon lui d'avoir des fictions fortes sur le changement climatique, mais celles-ci oublient trop souvent les causes de ce réchauffement. Dans « La Route » par exemple, la situation est apocalyptique due à la destruction de la nature, mais on ne connaît pas les causes. Cette absence de causes, contribue à l'idée que se font certains que ce réchauffement est imaginaire. 


Chapitre 4. La catastrophe imminente et les moyens de la conjurer : sur la révolution dans un monde qui se réchauffe.


L'auteur imagine plusieurs liens entre réchauffement et révolution.


-La révolution comme symptôme. Une étude mettait en avant que la chaleur exacerbe dans l'Histoire les confrontations. Si l'argument ne suffit pas à déclencher une révolution ou des actions de révolte construites, il agira probablement en étincelles de rapport sociaux déjà conflictuels.
→ L'exemple de la Syrie. En 2011, sécheresse historique. De plus en plus de sécheresses à partir des années 70. Depuis 1998, c'est un état de sécheresse quasi permanent. Les nappes phréatiques et cours d'eau s'assèchent. Entre 2006 et 2010, la situation a encore empiré, les stocks alimentaires ont diminué, et les récoltes s'effondraient. Entre 1 et 2 millions d'agriculteurs ont été déplacés. Ils se sont concentrés autour des villes : Damas, Alep, Homs... Les prix des denrées ont explosé également en ville. Au même moment, Assad se rapprochait d'hommes d'affaires pour qu'ils investissent dans l'économie. L'eau a été privatisé pour des projets inutiles etc... Les pénuries d'eau arrivaient en ville sauf dans les quartiers les plus riches qui gardaient leur pelouse verte. A la différence des autres pays du printemps arabe, la contestation a explosé en périphérie des villes en Syrie, avec le grand nb de migrants. Sans oublier la gestion anti-démocratique du régime d'Assad, le changement climatique a probablement été un des principaux détonateurs de la guerre. Changement climatique et iniquités du régime se sont mariées pour donner naissance à cette révolution.
-> A partir de l'exemple de la Syrie, l'auteur essaye de théoriser ces basculements. Le réchauffement climatique va rendre le travail manuel plus difficile. Si les capitalistes agissent comme dans le passé, les ouvriers vont devoir produire autant avec plus de difficulté et moins de jours de travail (car certains trop chauds). Se profile alors, la conjecture d'une catastrophe (le réchauffement) et d'un développement inégal au profit des plus riches. 


-La contre révolution et le chaos comme symptômes. Si les changements climatiques font exacerber des pénuries d'eau et de nourriture, ils vont donc hatiser des tensions sociales également. En plus de probablement déclencher des révolutions, cela va déclencher des contre-révolutions. Un fascisme écologique, avec un leader autoritaire garant de l'approvisionnement des denrées. Ou encore une violence nihiliste, raciste. Un chercheur avance même que les migrations des populations musulmanes vers le nord par exemple, pourrait raviver des envies génocidaires, alimentées par l'islamophobie déjà présente en Europe. 


-La révolution pour traiter les symptômes. Révolutions et contre-révolutions imaginées ici, existaient déjà avant le réchauffement climatique. Mais ce dernier les stimule. Le vrai casse-tête stratégique est que les victimes du réchauffement et potentiellement les premiers révolutionnaires du réchauffement sont loin des causes : un agriculteur victime du réchauffement au Burkina, ne peut faire tomber Exxonmobil de sa tour d'Ivoire au Texas. Or, il cite Naomi Klein : aujourd'hui, toutes les luttes sont liées aux luttes contre le capital fossile, il faut juste que ces révoltés en prennent conscience. 



Avis personnel



-Les deux premiers articles du livre sont sensationnels. Bien que peu évidents à la lecture au premier abord, l'auteur déroule des arguments implacables de manière logique et impressionnante. Le démontage de la notion d'anthropocène est passionnant et réellement pertinent. Le deuxième article sur l'histoire du capital fossile me semble même être un indispensable aujourd'hui pour quiconque veut comprendre les raisons du réchauffement aujourd'hui.
-Toutefois, les deux derniers articles du livres sont clairement en-deça. Là où le deuxième article prenait le temps d'avancer une construction logique d'arguments, les derniers sont un peu rapides, et on peine à en retirer quelque chose de clair. Les idées avancées sont intéressantes, la fossile-fiction et les liens entre révolutions et chaleur, mais les articles sont beaucoup trop courts.
-Le livre réussit également à mettre des mots sur beaucoup de sensations que j'ai pu ressentir ou de pensées qui m'ont traversé l'esprit : est-ce que l'homme était destiné à se détruire et à tout détruire ? Est-ce que je suis le seul en voyant ce film ou en lisant ce livre à y voir des allégories du changement climatique etc...
-Enfin, l'auteur agrémente ses hypothèses de passionnants témoignages, notamment les croustillantes réflexions de manufacturier du XIXème.

Hunkydorus
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le 26 mai 2020

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