6
Déçu je suis
Eco bordel de merde, Umberto Eco. C'est un de mes romanciers favoris, pourtant sa carrière est très inégale. Si on résume, Le Nom de la Rose : tuerie ; Le Pendule : tuerie ; L'île du jour d'avant :...
le 30 avr. 2011
16 j'aime
3
Que du bonheur!
Inconditionnel j'étais, inconditionnel je reste
Dénoncer de façon humoristique et tellement amusante la façon dont l'antisémitisme et l'antimaçonnisme s'est construit àcet époque , tout en nous faisant traverser les grandes épopées du 19 ème de GARIBALDI à la commune en passant par l'affaire DREYFUSS seul Umberto ECO pouvait le faire, il y arrive tout en nous dispersant dans les anecdotes qui n'ajoute rien à ll'intrigue mais qui nous font passer tant de bons moment, a lire juste pour le plaisir de lire.ou l'on retrouve l'humour de comment voyager avec un saumon dans cette grande fresque historique.
Un vrai plaisir!
Dénoncer de façon humoristique et tellement amusante la façon dont l'antisémitisme et l'antimaçonnisme s'est construit àcet époque , tout en nous faisant traverser les grandes épopées du 19 ème de GARIBALDI à la commune en passant par l'affaire DREYFUSS seul Umberto ECO pouvait le faire, il y arrive tout en nous dispersant dans les anecdotes qui n'ajoute rien à ll'intrigue mais qui nous font passer tant de bons moment, a lire juste pour le plaisir de lire.ou l'on retrouve l'humour de comment voyager avec un saumon dans cette grande fresque historique.
Un vrai plaisir!
9
Écrit par
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 28 juil. 2011
Critique lue 234 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Le Cimetière de Prague
3
le nom de l'arthrose
Umberto Eco, malgré toute l'admiration que je lui porte, est devenu un vieil homme un peu radoteur, que l'on visite le dimanche à la maison de retraite en regardant l'heure à la pendule du salon, et...
Par
le 24 avr. 2011
15 j'aime
5
9
Critique de Le Cimetière de Prague par Stephane Albert
Complot, arnaque, trahison, mensonge, haine sont les maîtres mots de ce roman. Les romans de M. Eco sont toujours d’une grande érudition, celui-ci n’échappe pas à la règle et nous dépeint une Italie...
le 1 août 2013
10 j'aime
5
