Un roman très court, ramassé, qui oublie la psychologie des personnages et ne raconte que leurs actes. C'est au lecteur d'imaginer l'état d'esprit et les émotions de chacun, procédé qui a pour but de faire transpirer le malaise au fil des pages. L'histoire est loin d'être originale puisqu'il s'agit simplement de faire disparaître un mari gênant, mais le talent de l'auteur et les descriptions à la serpe, visuelles, suffisent à donner un récit haletant et du suspens. Un classique absolu et brutal.
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 28 mars 2018
Critique lue 337 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Le facteur sonne toujours deux fois
Il se dévore comme un sandwich un soir de cuite, ce bouquin. Il mélange le classique duo meutre/sexe qui fonctionne aussi bien qu'un buddy movie - ou, pour reprendre la métaphore, aussi bien que de...
Par
le 12 févr. 2016
2 j'aime
Il est devenu écrivain sur un coup de tête. Et dès son premier roman, les planètes se sont courtoisement alignées. D'aucuns y verraient un coup de chance, James M. Cain savait où était sa place. Son...
Par
le 19 août 2022
1 j'aime
Un roman très court, ramassé, qui oublie la psychologie des personnages et ne raconte que leurs actes. C'est au lecteur d'imaginer l'état d'esprit et les émotions de chacun, procédé qui a pour but de...
Par
le 28 mars 2018
1 j'aime
Du même critique
En 1981, Renaud est au plus haut de sa popularité et de son talent, et cela s’entend dans cet album. Le chanteur ose tout et prend pour cible tout ce qui l’énerve, des étudiants à la télévision en...
Par
le 29 mars 2018
2 j'aime
1
Mouais... Et bien je me suis une fois de plus fait avoir par un très bon marketing subtilement relayé par Twitter. Le livre n'est pas mauvais, il arrive même à ménager un certain suspens, mais le...
Par
le 22 mars 2018
2 j'aime
Un médecin qui tire profit de l’hypocondrie de ses patients, voici l’idée géniale et intemporelle avec laquelle Jules Romains a réussi à créer une pièce de théâtre aussi amusante que grinçante. Les...
Par
le 29 mars 2018
1 j'aime
