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Lars Kepler : Volume 4
La fin du roman numéro 3 de Lars Kepler "Incurables" finissait sur une intrigue qui allait lancer ce roman "Le marchand de sable". Autant être clair, on ne peut apprécier ce roman à sa juste valeur...
le 17 mai 2017
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Étonnant, enquête au cordeau, mais...
Étonnante histoire, qui tourne au huis-clos sur des échelles multiples. L'enquête est parfaite, écrite au cordeau, construite sur un rythme savamment étudié, qui relance en permanence, tout en maintenant un suspens haletant.
Ah ! Comment retrouver Disa dans ces conteneurs... Ah ! Cette poursuite finale avec Saga en toute fin de l'histoire...
Mais... Une chose m'a perturbé. Cette capacité qu'a le tueur de s'approprier la volonté de ses victimes me gêne et je n'ai pas mordu à l'hameçon. Cela est sûrement plausible... Pourtant, je n'y ai pas crû.
Ensuite, le personnage d'Anders est tout à fait crédible, mais son rôle qui sert parfaitement l'histoire, m'a paru un peu anachronique. Peut-être une question de véracité... ou un décalage dans la structure psychiatrique de l'intrigue.
Sinon, c'est une excellente histoire qui se lit sans problème, et est suffisamment addictive pour qu'on ne lâche pas le livre. Lu en 3 jours... c'est dire. Et c'est un excellent moment de lecture qui me conforte dans l'idée que l'écrit reste la meilleure manière de construire son imaginaire.
A lire, sans hésitation.
Ah ! Comment retrouver Disa dans ces conteneurs... Ah ! Cette poursuite finale avec Saga en toute fin de l'histoire...
Mais... Une chose m'a perturbé. Cette capacité qu'a le tueur de s'approprier la volonté de ses victimes me gêne et je n'ai pas mordu à l'hameçon. Cela est sûrement plausible... Pourtant, je n'y ai pas crû.
Ensuite, le personnage d'Anders est tout à fait crédible, mais son rôle qui sert parfaitement l'histoire, m'a paru un peu anachronique. Peut-être une question de véracité... ou un décalage dans la structure psychiatrique de l'intrigue.
Sinon, c'est une excellente histoire qui se lit sans problème, et est suffisamment addictive pour qu'on ne lâche pas le livre. Lu en 3 jours... c'est dire. Et c'est un excellent moment de lecture qui me conforte dans l'idée que l'écrit reste la meilleure manière de construire son imaginaire.
A lire, sans hésitation.
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le 19 janv. 2015
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