Alors que Le mystère de la chambre jaune était parfaitement équilibré dans son rythme et enchaînait les rebondissements sans temps mort, sa suite s’avère bien plus bancale. Il faut attendre plus de cent pages avant que l’évènement déclencheur de l’intrigue ne survienne. Gaston Leroux, qui a bien conscience du problème que ça pose, va d’ailleurs l’annoncer à de multiples reprises pour essayer de maintenir l’intérêt du lecteur. Plus que pour son enquête, Le parfum de la dame en noir vaut surtout pour ce qu’il nous apprend sur son jeune enquêteur.