Sept chapitres de ce qui ressemble à des souvenirs d’enfance. C’est parfois drôle, ces évocations dans un style léger d’amies légères. Et puis le récit a beau dater de 1903, il plaira aux amateurs de méta-littérature. Le hic, c’est que sur deux cents pages, ça finit par lasser. Pour peu qu’on considère que l’auto-dérision soit l’arme des faux modestes ou de ceux qui n’ont rien à dire, alors le Petit Ami baigne dans la fausse modestie et la vraie vanité.

Alcofribas
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le 15 août 2015

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