le 1 mai 2018
Quel dénouement, vraiment !
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Comme vous avez pu le constater, ma note est légèrement inférieure à celle de la première intégrale. Pour quelle raison ? En vérité, même si j’ai apprécié ma lecture, je lui ai trouvé quelques faiblesses. En effet, corrompu par la magie, Jamère prend du poids tout au long du récit, sans jamais s’arrêter.
Mais peut-être est-ce sa faute, finalement ? Peut-être ne fait-il pas suffisamment d’efforts pour perdre son embonpoint ? À moins que ça ne soit une conséquence indirecte de la peste ocellionne ? Pourtant, les autres victimes ont maigri au point de n’avoir plus que la peau sur les os. Dans ce cas, est-ce vraiment la magie la responsable ?
Voici donc un aperçu de ce qui vous attend dans ce volet ; des milliards de questions et une infinité de doutes, mais pas de certitudes. Inlassablement, Jamère est en proie aux mêmes réflexions. Et dès qu’il parvient à une conclusion, il change aussitôt d’avis le lendemain.
Vous l’aurez donc compris, ces redondances m’ont un peu frustrée. Néanmoins, en dépit de ces longueurs, **les choses évoluent, ce qui a permis de maintenir mon attentio**n. Et puis, il faut l’avouer : il n’y a que Robin Hobb pour rendre une prise de poids et un appétit vorace aussi intéressants !
…on change de direction. Une fois encore, l’auteure m’a surprise par quelques rebondissements inattendus. Alors que le destin de Jamère semblait tout tracé, il emprunte finalement un autre chemin. Or, quand on s’en aperçoit, il est déjà trop tard ; il faut faire face aux conséquences aux côtés de notre cher héros. Celui-ci a d’ailleurs été victime de tant d’injustices que j’ai été révoltée, parfois plus que lui. Je crois que je ne verrai plus jamais les personnes obèses de la même manière, après ça…
En fin de compte, bien que je regrette l’ambiance politique et les intrigues de l’École de la première intégrale, le scénario de celle-ci m’a emballée !
Je l’avais déjà souligné dans ma chronique précédente, mais Robin Hobb n’a pas son pareil pour créer des personnages réellement aboutis. Elle en fait encore la preuve ici, d’abord avec le père de Jamère, que l’on découvre sous un autre jour. J’avais beau le savoir intraitable avec son fils, je l’ai trouvé… eh bien oui, carrément cruel.
Puis il y a eu Amzil, dont la personnalité balance entre l’indépendance farouche et le besoin de s’appuyer sur un homme fort. Au début, je ne savais pas trop quoi en penser, mais elle a su me convaincre de son bon fond. Enfin, j’ai retrouvé avec plaisir Épinie et Spic, deux de mes personnages favoris dans la première intégrale.
À présent, j’attends de voir ce que me réserve la troisième…
Créée
le 30 janv. 2018
Critique lue 165 fois
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