Critique de "Legion of the damned"

Lu en anglais

Premier tome d'une série

L'empire des Hudatha, des extraterrestres humanoïdes très grands et costauds avec un museau de crapaud, est menacé car leur soleil natif se transforme en géante rouge. Ils se cherchent donc un autre lieu d'accueil. Et voilà qu'ils entrent en contact avec la frange de l'empire terrien. Mais leur paranoïa les pousse à éliminer toute concurrence. Leur attaque sur le monde de Werber est donc sans merci; toute la population est éliminée. Face à ce désastre, l'amiral Scolari, en charge de la flotte stellaire et des marines, conseille de concentrer toutes les forces pour protéger le coeur de l'empire en abandonnant donc la bordure aux assauts des Hudatha. Pour sa part, la générale Marianne Mosby, en charge de la légion propose de se porter à l'attaque de l'ennemi avant qu'il augmente ses forces avec les ressources capturées. La légion, basée sur l'ancienne légion étrangère, est souvent formée de criminels condamnés à mort dont c'est la seule chance de survie. Survie si on veut, car leur cerveau est souvent transférée comme unité de contrôle dans des robots géants et lourdement armés. En plus, la planète qui sert de base principale à la Légion se trouve dans la bordure. Pour la stratégie, c'est l'empereur qui a le dernier mot. Mais comme la menace des Hudatha est mortelle, des clans se forment selon la stratégie privilégiée.

Une histoire de science-fiction militaire comme on les aime, mais concentrée surtout sur des combats d'infanterie. Il y a bien des batailles spatiales, mais elles sont peu décrites. Par contre, les batailles sur la planète de La Légion ne laisse rien à désirer. On nous présente des soldats d'élite qui refusent de céder.

Bien sûr, j'ai beaucoup aimé et je vais chercher à me procurer les romans suivants de la série.