Dans le Stalinisme, on avait l'autocritique.
Il fallait tuer le bourgeois en soi.
Racisme, antisémitisme, sexisme et homophobie étaient des maux du Capitalisme.
Dans le racialisme bouteldjien cela donne : il faut tuer le blanc en soi. Racisme, antisémitisme, sexisme, homophobie sont des maux de l'impérialisme occidental.
Que faire ?
La question reste ouverte.
Créée
le 5 juin 2023
Critique lue 161 fois
1 j'aime
Une lecture rendue compliquée non pas tant par le style d'écriture mais plutôt par son contenu assez inintelligible. On ne comprend pas grand chose si ce n'est la misère intellectuelle dans laquelle...
Par
le 19 janv. 2018
23 j'aime
4
Cela fait un moment que je voulais le lire celui-là. Une bonne pioche et hop! Je voulais le lire parce que je voulais me faire ma propre opinion face à ce texte qui (même s'il n'a été lu que par peu...
Par
le 17 déc. 2019
10 j'aime
5
Dans le Stalinisme, on avait l'autocritique.Il fallait tuer le bourgeois en soi.Racisme, antisémitisme, sexisme et homophobie étaient des maux du Capitalisme.Dans le racialisme bouteldjien cela donne...
Par
le 5 juin 2023
1 j'aime
Face à l'extrême droite, avec une bonne dose de romantisme révolutionnaire nostalgique de la guerre d'Algérie, Houria Bouteldja essaie de récupérer la gauche blanche qu'elle méprise ouvertement.
Par
le 4 mars 2023
1 j'aime
Film de Science-Fiction psychanalytique fait de bric et de broc sur la séparation : surréaliste, tant on voit l'envers du décor entre deux scènes d'action expéditives invraisemblables, sidérant de...
Par
le 3 sept. 2022
1 j'aime
Autrement dit la rencontre entre le désir d'une actrice et d'un réalisateur co-scénaristes, chacun dans sa partie. La scène de théâtre de rue jouée par Olka, le sujet de la pièce formulé par Eva : un...
Par
le 21 août 2022
1 j'aime
