D’abord dépassé par la structure labyrinthique de la narration et par le « bolañoverse » (auteurs mystérieux, revues, noms de rues), j’ai fini par devenir sensible à la lettre d’amour ouverte que ce livre adresse à la poésie. Comme certains le disent, Les Détectives sauvages parle de l’errance en exil, mais aussi de ce que signifie une perte — deux thèmes qui me tiennent à cœur. À relire dans quelques années.
Créée
le 19 août 2025
Critique lue 3 fois
Un livre impossible a résumer, une enquête sur les fondateurs d'un obscur (et fictif) mouvement littéraire mexicain Fascinant roman polyphonique divisé en trois parties : le journal intime d'un poète...
Par
le 23 janv. 2011
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C'est la première fois où j'ai envie d’arrêter un livre alors que je n'en suis pas au tiers, c'est aussi la première fois que le fini en me disant que j'ai bien fait de continuer. En lisant les...
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le 28 nov. 2016
10 j'aime
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Juan Garcia Madero est un étudiant de 17 ans passionné de poésie qui adhère au mouvement réal-viscéraliste : une bande de copains qui aiment écrire et lire de la poésie, se bourrer la gueule à la...
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le 26 mai 2014
8 j'aime
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Divertissant mais un peu trop court. En tant que grand fan d'à la fois papacito (du temps de fdp de la mode) et de Marsault, j'ai trouvé la BD un peu trop courte pour le prix. Certains passages sont...
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le 7 avr. 2018
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3
tellement ouf..
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le 10 juin 2012
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Ce disque atteint presque la perfection.
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le 5 mars 2012
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