Dans le Périgord des années 1960, Jean analyse les plaisirs qui animent sa vie simple, au sein d'un environnement périurbain et naturel, où les rivières, aimablement animées, semblent incarner des rites immuables où loge le bonheur, à qui sait le contempler. La séduction y prend des formes particulières, les animaux, leurs bruits et usages ponctuent les jours d'une forme de poétique simplicité.
Voilà une sorte d'hymne à un art de vivre immuable, en grandes parts ignoré et à réhabiliter; L'idée est belle et mérite bien d'être traitée, même si je garde l'impression qu'elle est tirée à la ligne et qu'il y manque un peu de faits et de trame narrative.