Humour absurde, je me suis régalée et j’ai voyagé.
En revanche, attention, il y a de la violence sanglante.

Lagoupilleultime
9

Créée

le 2 janv. 2024

Critique lue 1 fois

Critique lue 1 fois

D'autres avis sur Les Groseilles de novembre

Les Groseilles de novembre
MarianneL
6

Critique de Les Groseilles de novembre par MarianneL

Retour dans le monde fantastique d’Andrus Kivirähk, au cœur d’un village et de la forêt Estonienne, avec cette imagination et cet humour dévastateur découverts avec bonheur en 2013 dans «L’homme qui...

le 1 nov. 2014

5 j'aime

Les Groseilles de novembre
Xia
7

Des déjanté(e)s et des bricolés pour le meilleur et pour le pire !

Andrus Kivirahk me transporte. Depuis L’homme qui savait la langue des serpents (que je recommande chaudement) c’est toujours un plaisir de retrouver des personnages et des lieux forts et/ou hauts en...

Par

le 10 déc. 2014

4 j'aime

1

Les Groseilles de novembre
Cinephile-doux
8

En magique Estonie

Puissent les livres d'Andrus Kivirähk connaître le même sort que ceux d'Arto Paasilinna. Ce dernier, découvert avec Le lièvre de Vatanen, a été ensuite traduit une petite quinzaine de fois en...

le 9 févr. 2017

2 j'aime

Du même critique

In defence of meat
Lagoupilleultime
7

Bon résumé informatif et sourcé

L'exercice de synthèse des informations liées à la viande et sa consommation est réussi. Je me serais passée de certains jugements qui sont en décalage avec le reste du livre, qui se veut informatif...

le 23 avr. 2024

Fahrenheit 451
Lagoupilleultime
9

Un classique super efficace et actuel

L’histoire est celle d’un monde où les livres sont brûlés par les pompiers, la population maintenue dans un brouhaha audiovisuel constant qui permet de ne pas réfléchir, et de toujours s’amuser. La...

le 20 avr. 2024

Du même bois
Lagoupilleultime
7

Une histoire de famille et d’élevage

J’ai trouvé le livre juste dans sa description des petites exploitations d’élevage où on travaille beaucoup et on vit durement. Tellement durement que les enfants s’en détachent, et c’est difficile...

le 20 avr. 2024