6
Les régulateurs !
En 1985, un journaliste écrit à Stephen King en lui annonçant qu'il a découvert qu'il était Richard Bachman et qu'il va tout dévoiler. King décide alors de pousser le vice et annonce alors...
le 26 sept. 2018
2 j'aime
Les Régulateurs par Eowyn Cwper
C'était un peu une montagne russe, cette lecture. La mise en place est lente, puis le chaos se déchaîne, et enfin les tergiversations s'enchaînent. J'ai été convaincu·e par les scènes les plus surnaturelles, en-dehors du cadre périurbain qui sert de cadre à la plus grande partie du roman, mais pas vraiment par le reste. Était-ce le ronron de cette vie semi-conviviale de quartier qui m'a ennuyé·e ? En tout cas les rapports humains que ce petit monde génère sont planplans, et quand ils sont troublés par l'horreur, on a l'impression de ne voir guère plus qu'un film à petit budget. Bizarre – l'écriture n'a de limite que l'imagination de l'auteur et du lecteur, pourtant je n'ai pas eu d'images bien plus sensationnelles que celles qu'on trouve dans la plupart des adaptations de King au cinéma dans les années 70 et 80. Le livre donne initialement l'impression que l'écrivain voulait se lancer dans une expérience libératrice et un peu trash sous son célèbre pseudonyme, mais au final ça tombe plutôt à plat.
4
Écrit par
Créée
le 23 oct. 2023
Critique lue 7 fois
D'autres avis sur Les Régulateurs
6
Le jour où Wyatt Earp rencontra M. Spock.
Richard Bachman est mort depuis quelques temps, désormais, ce qui n'empêche pas Stephen King de plaisanter avec son alter ego en ressortant des manuscrits jetés à la poubelle (parallèle peu subtil...
Par
le 10 mai 2015
1 j'aime
8
Critique de Les Régulateurs par Cretine
Ce livre était pour moi un défi. J'aimais la couverture, je ne savais absolument pas de quoi ça parlait, je l'ai prêté à un ami qui l'a lu en un week-end. J'ai mi une année scolaire, presque. C'était...
Par
le 15 juin 2010
1 j'aime
Du même critique
10
Du pur génie, un cours de cinéma drôle et magnifique
Quand on m’a contacté pour me proposer de voir le film en avant-première, je suis parti avec de gros préjugés : je ne suis pas un grand fan du cinéma japonais, et encore moins de films d’horreur. En...
Par
le 25 oct. 2018
8 j'aime
3
Critique de La Forêt sombre par Eowyn Cwper
(Pour un maximum d'éléments de contexte, voyez ma critique du premier tome.) Liu Cixin signe une ouverture qui a du mal à renouer avec son style, ce qui est le premier signe avant-coureur d'une...
Par
le 16 juil. 2018
8 j'aime
1
3
Le non-échec quand il est marqué du sceau de la télé
Si vous entendez dire qu'il y a Cluzet dans ce téléfilm, c'est vrai, mais attention, fiez-vous plutôt à l'affiche car son rôle n'est pas grand. L'œuvre est aussi modeste que son sujet ; Ledoyen porte...
Par
le 25 août 2018
7 j'aime
3
