C’est mignon, c’est léger, c’est le monde à travers les lunettes roses. Le style d’écriture d’Ali Hazelwood est particulier car consiste à employer constamment la première personne de manière un peu débordée. Toutefois, on s’y habitue assez rapidement et c’est ce que rajoute le charme à chacune de ses œuvres. Un point bonus pour le monde scientifique de cette histoire. Un point malus pour l’histoire très prévisible et assez facilement oubliable.
Recommandation du jour : Afin d’apprécier au mieux le style de l’auteure, n’hésitez pas à lire ses œuvres en anglais.