Critique de Maximes par Emphiris
Quand on aborde la littérature du XVIIe, forcément je ne peux PAS être objective. L'élégance du style, la pertinence des travers dépeints encore aujourd'hui, que veux-tu, je kiffe grave.
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le 6 mars 2011
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Créée
le 29 sept. 2012
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Quand on aborde la littérature du XVIIe, forcément je ne peux PAS être objective. L'élégance du style, la pertinence des travers dépeints encore aujourd'hui, que veux-tu, je kiffe grave.
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le 6 mars 2011
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Mais où se cache l'amour ? François de La Rochefoucauld ne le trouve nulle part. Armé d'une loupe (cadeau de Baruch Spinoza), il débusque l'amour-propre et l'intérêt, aux sources de nos actes. Au...
le 14 oct. 2016
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Les « Maximes » se lisent vite et leur sens de la formule, vif et percutant fait souvent mouche. On est saisi par la vision si pessimiste de l’âme humaine que révèle le duc, mais également gêné par...
le 23 déc. 2021
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Ca sent l'sapin, a dit le curé. Bah, il avait raison.
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le 29 sept. 2012
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La Haine, c'est l'histoire de trois gamins qui sont un peu paumés, entre le passé, le futur, la misère, la souffrance, la violence. C'est l'histoire de gens comme nous. Mais qui ne peuvent...
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le 29 sept. 2012
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le 9 sept. 2012
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