le 8 mai 2019
Magnifique claque
Mers mortes est certes un roman de science-fantasy (mêlant science-fiction et magie), il n’en reste pas moins ancré également dans notre réalité actuelle d’un point de vue écologique. Partant du...
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Je vais commencer par ce qui fut pour moi le gros point faible de ce livre : la gestion du temps. Le début est précipité, on a le temps de rien pas même de réfléchir. On a une mise en abyme de 7 pages et HOP ! ACTION ACTION ! On a le temps ni de connaître ni de comprendre les personnages. En 70 pages, vous devez savoir que le monde est mort et que, depuis, certains peuvent protéger les survivants dont l'un est en danger depuis 40 pages, tout ça pendant des combats.Cette précipitation m'a vraiment dérangé. 2ème point pas cool : je n'ai pris du plaisir à le lire qu'à partir de la page 200 environ, sur 368. En gros, pendant 200 pages je lisais passivement, sans comprendre entièrement ce qu'il se passait, puis vers la 200ème page, grosse dalle de lecture ! Les 168 dernières pages sauvent le livres. Je me les suis faites en 1 ou 2 heures. D'un coup, c'était impératif que je le finisse. Quel dommage que ça ne me soit arrivée qu'à plus de la moitié ! Franchement, j'ai trouvé ces 200 premières pages confuses et, parfois, contradictoires. Heureusement, la contradiction est – plus ou moins – rattrapée par une explication super cool et qui a fait imploser mon cerveau (même si pour certains détails, la révélation est une excuse un peu trop facile à mon goût). Ah, et autre chose : pourquoi c'est Oural le personnage principal ? Honnêtement, j'aurai préféré Bengale en tête d'affiche : c'est un personnage bien plus complexe, charismatique et profond, qui méritait les honneurs. Quoique ce n'est pas la première fois qu'un personnage principal est le figurant de l'histoire d'un autre (je pense premièrement à Gatsby dont l'histoire est raconté par Nick Carraway).
En bref : ce fut une lecture très agréable sur sa fin, malgré des longueurs parfois interminables sur le début et le milieu. J'en garderai tout de même un bon souvenir.
Créée
le 17 sept. 2020
Critique lue 82 fois
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