La fin ?

C'est que l'on ne l'attendez plus ce troisième tome de Metro, mais il a fini par venir et pour mon plus grand plaisir. On revient donc sur l'histoire d'Artyom, que l'on avait laissé au sommet de la tour de télé dans 2033, et pour ceux jouant jeux victorieux des communistes, d'ailleurs les jeux vidéos sont intégré dans l'histoire des romans avec la mention de la victoire à D6 et l'intégration du personnage d'Anna qui est marié à Artyom et dont la relation est en chute libre. Artyom n'a plus qu'une chose en tête trouver des traces de vie en dehors de Moscou et retrouver de l'espoir et il se mettra en quête pour les trouver à travers le métro moscovites et ses rumeurs, ramassant au passage plusieurs personnage plutôt attachants comme Homère. Histoire de ne pas être dépaysé on retrouvre la violence et les difficultés du métro par les camps de travail des fascistes, des victimes de famines communistes ou des sérieux militaires de l'ordre. Mais fait troublant, plus de mutants, un parti pris audacieux et qui n'entache pas le livre et s'intéressant plus aux psychés humaines plutôt qu'à l'environnement hostile. Car il y a des passages qui font réfléchir et faisant références à des actes du passé, de la propagande aux famines de l'URSS en passant par les élites secrètes. Le petit monde d'Artyom s'écroule et se reconstruit au fur et à mesure de sa quête de vérité. De nombreuses questions trouvent leurs réponses et la fin en pose des nouvelles, qui ne seront répondu que par l'intermédiaire d'un jeu métro se faisant la suite semi-officiel, mais les dernières pages reste une conclusion dès plus satisfaisante et en respect avec l'esprit Metro.