Critiques de Oblomov

Je sais pas vous, mais moi je préfère les Folio aux Livre de Poche. Je les trouve plus jolis, doux, trapus dans la main. Devil in the details. J'achetai donc ce bel Oblomov sans même y réfléchir. En...

J'étais franchement étonné que le roman Oblomov ne soit connu que d'une frange minimale d'initiés alors qu'en Russie il est un classique des plus connus, au même titre que les livres de Tolstoï,...

L'art de la paresse est plus difficile à décrire que l'on ne croit, la meilleure preuve en étant que trois livres qui l'abordent en font trois portraits différents. La paresse est d'abord une...

"Oblomov eût bien apprécié la propreté, mais à condition qu'elle s'installât d'elle-même, sans qu'il s'en aperçoive." - Avouez que cette phrase est irrésistible! - J'ai vaincu. J'ai lu Oblomov de...

Oblomovisme : un mot bien connu des russophiles, mais qui n'est pas encore entré officiellement dans la langue française ; en tout cas, on n'en trouve nulle trace dans notre bon vieux Larousse,...

Oblomov, c'est d'abord et surtout le nom même du protagoniste, un homme d'une trentaine d'années, déjà fané et éteint, fonctionnaire au zèle plus que douteux, et qui passe le plus clair de son temps...

Cas difficile que celui d'Oblomov. Le postulat de départ est original -ou en tout cas, j'ai jamais lu quelque chose dans ce style- et absolument hilarant (de mon point de vue) : Oblomov est un petit...

Comment faire un portrait ? Gontcharov me l'apprend. Il écrit Oblomov comme ces toiles où les traits du visage n'apparaissent que par l'effet d'un incompréhensible mirage que la peinture opère...

Le personnage principal, Oblomov (qui a inspiré le néologisme d'oblomovisme), est un rentier vivant à Saint-Pétersbourg et qui passe ses journées entières au milieu de son divan. Si au début, on a...

Appelez-moi Oblomova. Comme lui, j'ai souvent la flemme. Je n'ai donc pas fini le pavé relatant son histoire. Allez, faute avouée, à demie pardonnée ? (promis je m'y remets dès que j'ai un peu de...