le 19 févr. 2011
ou plutôt: l'Etoile de s'endort
Peter F. Hamilton nous avait enchanté par son hexalogie "L'Aube de la Nuit", une sorte de Guerre des Etoiles avec des zombies dedans. Il se relance ici dans un space-opera gargantuesque...
Application SensCritique : Une semaine après sa sortie, on fait le point ici.
Futur assez lointain, l’humanité a colonisé une partie de la galaxie au sein d’un Commonwealth, et poursuit progressivement son expansion grâce à la technologie des trous de vers lui permettant de s’affranchir des distances. Cette société a tué la mort physique, ou du moins son inexorabilité, grâce à la technologie du rajeunissement, des résurrections et des stockages de mémoire. Des espèces extra-terrestres ont été découvertes et une certain vivre ensemble est en place avec ces entités sentientes.
Dans ce contexte, un astronome découvre par hasard l’enveloppement d’un système solaire lointain.
Cette enveloppe pose question car malgré son avancement technologique, une telle enveloppe est hors de portée des compétences humaines. Et cela pose problème. Est-ce un confinement défensif ? Si oui, les implications sont sombres. Une civilisation aussi avancée technologiquement qui a recours à ce niveau de défense implique une menace proportionnelle. Cela ne peut être une bonne nouvelle. Est-ce un confinement imposé ? Si oui, quelle civilisation aussi avancée technologiquement et inconnue du genre humain a identifié une menace telle au sein de ce système qu’elle l’a confiné préventivement.
Bref les questions sont nombreuses, et le Commonwealth décide de construire un vaisseau pour étudier de plus près cette barrière et récolter un maximum d’informations. Au sein de la faction humaine, tous ne sont pas d’accord d’aller fureter si près de quelque chose si manifestement aussi évolué. L’humanité ne risque-t-elle pas d’ouvrir une boite de pandore ?
Un prologue génial, un démarrage un petit peu lent mais mettant en place différentes trames d’un vaste ensemble et d’une multitudes de points de vue, l’étoile de pandore parvient à la fois à procurer le sense of wonder digne d’un bon space opera tout en restant souvent à taille humaine pour nous faire visiter le point de vue d’un personnage, de luttes politiques intestines, etc… Les 200 dernières pages sont une lente montée en puissance vers un final très réussi et qui invite à la lecture immédiate du tome 2.
Bref très prometteur et hâte de lire la suite, encore 3 tomes bien dodus en espérant qu'on reste sur ce niveau de qualité !
Créée
le 5 févr. 2024
Critique lue 35 fois
le 19 févr. 2011
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