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Personne n’était censé mourir pendant ces vacances est le premier roman d’une autrice québécoise, Catherine Mack. La quatrième de couverture annonce l’histoire d’une autrice américaine, qui mène l’enquête en Italie telle Arabesque. Mais que nenni, pour moi ce livre est plutôt à catégoriser dans les livres feel-good. Il est satisfaisant et relaxant pour vous accompagner durant l’été. Si vous vous attendez à une romance ou à un thriller, vous pourriez être déçu !

Le plus : L’intrigue est plutôt simple et il y a peu de personnages à retenir. On entre facilement dans l’enquête de vacances de Eleanor Dash qui nous fait voyager en Italie.

Le moins : Les notes de bas de page qui n’en finissent plus. L’autrice semble trouver ça drôle, mais à la longue, c’est très très pénible et sans réel intérêt pour l’histoire. J’ai fini par ne plus les lire…

Maintenant, dix ans se sont écoulés et j’ai l’impression d’être coincée avec lui jusqu’à la fin des temps, comme Agatha Christie avec Poirot et Conan Doyle avec Sherlock. Ils ont fini par tuer leur personnage principal, et c’est ce que je vais faire. Je vais le tuer.

Créée

le 12 sept. 2025

Critique lue 3 fois

Émilie

Écrit par

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