Si ce roman n’a pas forcément rempli toutes les promesses de sa quatrième de couverture, notamment sur l’aspect « férocement drôle » qui me paraît complètement inapproprié après la lecture, il aura eu le mérite de me surprendre et de ne pas du tout me décevoir, bien au contraire. Parce que Population: 48 est très original et nous fait vite oublier, par tous ses atouts, que ce n’est pas tout à fait ce à quoi on s’attendait. J’ai adoré cette lecture, déjà, pour l’idée de base plutôt géniale. La ville de Caesura, ou Blind Town constitue le cadre d’un huis-clos absolument palpitant. La [...]
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