L'écriture de Maylis de Karengal révèle à voix basse et avec la plus grande pudeur le glissement vers la mort puis l'absence. Cette tempête qui déferle à pas de loups et en silence. Avant que d'autres vies reprennent. D'autres vies que la sienne. C'est beau à en pleureur.

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le 12 nov. 2015

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