Critique de par Thierry Dupreuilh
Plus le temps de rêver. Fini le bonheur passé. Fini l’insouciance frivole. Quand il arrive à Irun où il espère rejoindre sa famille, Aïta trouve la maison vide. Tous les occupants de la maisonnée ont...
le 11 juin 2018
1 j'aime