Richard III
le 16 oct. 2015
Le mal aimé
Londres, 1471. L'Angleterre est malade et subit de nombreux conflits internes opposant les deux principales familles anglaises de l'époque : d'un côté la maison York, de l'autre celle de Lancastre...
SensCritique a changé. On vous dit tout ici.
Je n'ai pas grand chose à dire si ce n'est..
.. que ce vioque de Shonkspur a été sacrément grandiose sur ce coup-là.
La magie du bonhomme, c'est qu'il parvient à faire des oeuvres totalement médiocres comme des chefs-d'oeuvre quasiment parfaits. Ici il laisse l'empreinte shakespearienne, mêle ses thématiques les plus ardentes (la mort, la guerre, la trahison, le meurtre, la folie, les fantômes, le satanisme, etc), anticipe ce qu'on aura appelé plus tard le clash, maîtrise la rythmique linguistique mieux que n'importe quelle icône de la littérature théâtrale, il est devenu une référence, si ce n'est LA référence de tout écrivain sensé, grâce à ce coup de génie.
Nul besoin d'en parler plus longtemps, c'est une oeuvre à lire nécessairement, en langue anglaise, & il est très utile de traduire le vocabulaire inconnu : ça aide à une pénétration plus intrinsèque dans ce délicieux "Richard III".
La magie du bonhomme, c'est qu'il parvient à faire des oeuvres totalement médiocres comme des chefs-d'oeuvre quasiment parfaits. Ici il laisse l'empreinte shakespearienne, mêle ses thématiques les plus ardentes (la mort, la guerre, la trahison, le meurtre, la folie, les fantômes, le satanisme, etc), anticipe ce qu'on aura appelé plus tard le clash, maîtrise la rythmique linguistique mieux que n'importe quelle icône de la littérature théâtrale, il est devenu une référence, si ce n'est LA référence de tout écrivain sensé, grâce à ce coup de génie.
Nul besoin d'en parler plus longtemps, c'est une oeuvre à lire nécessairement, en langue anglaise, & il est très utile de traduire le vocabulaire inconnu : ça aide à une pénétration plus intrinsèque dans ce délicieux "Richard III".
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le 10 janv. 2013
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le 10 janv. 2013
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