le 15 sept. 2014
Épopée de l’obsession, et du lien mouvant entre individu et collectif. En football et ailleurs.
Désormais sur mon blog : http://charybde2.wordpress.com/2014/09/15/note-de-lecture-rouge-ou-mort-david-peace/
SensCritique a changé. On vous dit tout ici.
Alors c'est bien. C'est même très bien. Mais c'est long. C'est assez long. Peut-être deux fois trop long. Page après page. Après page. Plusieurs fois. Les expressions qui reviennent. En boucle. Les expressions qui reviennent en boucle. Page après page. Sur les pages de droite. Et sur les pages de gauche. A domicile. Comme à l'extérieur. Des noms de joueurs. Des noms de clubs. Des noms de stades. Des noms de joueurs de clubs, qui marquent des buts dans des stades. Des buts en championnat. Et des buts en Cup. Et des buts en coupe d'Europe. Des joueurs en rouge. Et des joueurs avec d'autres maillots. Des supporteurs. Des victoires. Des défaites. Et des matchs nuls. Et Bill Shankly sur le banc.
Mais c'est bien. Vraiment bien. Et quand on arrive à la fin. On est content. On est très content. C'est une belle fin. Et peut être qu'il fallait passer par ces pages. Par ces longues pages. Pour profiter de cette fin. De ces dernières pages. Ces cent dernières pages. Très belles. Never. Walk. Alone.
Créée
le 31 mars 2015
Critique lue 435 fois
le 15 sept. 2014
Désormais sur mon blog : http://charybde2.wordpress.com/2014/09/15/note-de-lecture-rouge-ou-mort-david-peace/
le 30 sept. 2014
Il est des romans qui deviennent des classiques dès leur sortie. N’en doutez pas ” Rouge ou mort ” de David Peace est de ceux-là. Je remercie Zoë de m’avoir forcé à lire un livre que j’avais...
le 14 août 2024
Je décide finalement d'attribuer la note maximale à cet incroyable roman de David Peace. Bien sûr, il n'y a peut-être pas de prime abord la matière classique de ce qui constitue un chef d'œuvre...
2
le 2 oct. 2010
Vendredi, deuxième partie de soirée. Je profite des derniers instants de l'offre canal plus gratos et tombe sur Neuilly sa mère. Vers 1h05 de film, j'ai ri pour la première fois ("Avec toi, je...
8
le 16 déc. 2012
Des fois, en lisant Jean Echenoz, je m'arrête à la fin d'un paragraphe. Et puis je le relis. Et j'essaie de comprendre. Je me dis il doit y avoir un procédé, un truc, ça a l'air si simple, on voit...
8
le 2 nov. 2010
Là j'ai du mal à bouder mon plaisir, c'est très bien mené, rythmé, les personnages sont pas caricaturaux (bon, OK un peu les jumeaux), les acteurs excellents (y compris Justin T., oui, oui), Fincher...
NOUVELLE APP MOBILE.
NOUVELLE EXPÉRIENCE.
Téléchargez l’app SensCritique, explorez, vibrez et partagez vos avis sur vos œuvres préférées.

À proposNotre application mobile Notre extensionAideNous contacterEmploiL'éditoCGUAmazonSOTA
© 2025 SensCritique