Application SensCritique : Une semaine après sa sortie, on fait le point ici.

Sera-ce le dernier Coben que je lirai ? Pas impossible, tant on frôle la redite quand il s'agit de disparitions et de réapparitions familiales, de passé mensonger, etc. D'autant que, sans doute conscient du besoin de se renouveler, Coben nous invente une histoire sans queue ni tête, pleine de trous et d'invraisemblances ridicules, autour du terrorisme et de la réponse américaine : en soi, cela pourrait être louable, sauf que Coben, toujours aussi réactionnaire, en profite pour justifier en passant la torture et le kidnapping de présumés coupables sans procès préalable... Nauséabond, tout simplement ! A noter également que,à mon avis, le charme des Myron Bolitar, par rapport aux "purs Coben", c'était leur légèreté et leur humour un peu bas du front : ici, sujet exige, il y a un changement de ton pour le moins surprenant, puisque c'est la noirceur qui prévaut. Bref, si l'on ajoute que la seconde partie du livre, aux USA, est fastidieuse, et que la conclusion est bâclée, on trouvera peu de raisons de se réjouir ici... [Critique écrite en 2011]

Eric-BBYoda
3
Écrit par

Créée

le 17 sept. 2014

Critique lue 428 fois

Eric BBYoda

Écrit par

Critique lue 428 fois

1

D'autres avis sur Sans laisser d'adresse

Sans laisser d'adresse

Sans laisser d'adresse

le 16 juin 2010

Critique de Sans laisser d'adresse par Prune

Un livre, comme tout les Coben (je suis fan de l'auteur donc peut être que mon jugement n'est pas impartial) qui te fait chavirer dès la première page, t'embarque, te triture les neurones dans tous...

Sans laisser d'adresse

Sans laisser d'adresse

le 10 oct. 2017

Critique de Sans laisser d'adresse par Krys Aline

Térèse Collins est grande, blonde ; elle est magnifique ! Elle a une belle prestance, des yeux bleus aux pupilles cerclées d'or, un port de tête majestueux et les épaules dégagées. Mais Térèse est...

Sans laisser d'adresse

Sans laisser d'adresse

le 17 sept. 2014

Plein de redites et réactionnaire

Sera-ce le dernier Coben que je lirai ? Pas impossible, tant on frôle la redite quand il s'agit de disparitions et de réapparitions familiales, de passé mensonger, etc. D'autant que, sans doute...

Du même critique

Les Misérables

Les Misérables

le 29 nov. 2019

Lâcheté et mensonges

Ce commentaire n'a pas pour ambition de juger des qualités cinématographiques du film de Ladj Ly, qui sont loin d'être négligeables : même si l'on peut tiquer devant un certain goût pour le...

Je veux juste en finir

Je veux juste en finir

le 15 sept. 2020

Scènes de la Vie Familiale

Cette chronique est basée sur ma propre interprétation du film de Charlie Kaufman, il est recommandé de ne pas la lire avant d'avoir vu le film, pour laisser à votre imagination et votre logique la...

1917

1917

le 15 janv. 2020

Le travelling de Kapo (slight return), et autres considérations...

Il y a longtemps que les questions morales liées à la pratique de l'Art Cinématographique, chères à Bazin ou à Rivette, ont été passées par pertes et profits par l'industrie du divertissement qui...