Moui
Gosse, j'adorais King. Et j'adorais Straub. Même pas besoin de lire la 4eme de couverture, j'avais fait un caprice à la seule vue des auteurs du bouquin pour qu'on me l'achete. 3 jours après,...
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le 25 déc. 2020
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Aussi loin que je me souvienne, dès que j'ai commencé à choisir moi-même les livres que je voulais lire, j'ai toujours adoré Stephen King. Marche ou crève, Rage, Chantier, Différentes saisons, ses recueils de nouvelles, et plus récemment, toute la série de La tour sombre m'ont toujours passionné. Et même s'il est connu surtout pour être le roi de l'horreur, j'ai toujours trouvé que ses romans non-horreur étaient au dessus du lot : La ligne verte, La tour sombre, Les évadés... Et la première fois qu'on m'avait parlé du Talisman des territoires, c'était au lycée, il y a 15 ans, mais je n'avais jamais eu l'occasion de le lire. Jusqu'à maintenant.
L'histoire est assez simple, celle d'un jeune garçon qui va devoir traverser les Etats-Unis aller-retour, en faisant des aller-retours dans un monde parallèle fantastique, où il devra affronter les doubles d'hommes de son propre monde, tout ça dans le but de trouver le fameux talisman qui lui permettra de sauver sa mère gravement malade. Dit comme ça, ça donne envie, n'est-ce pas ? On a envie de découvrir ce monde parallèle, d'y découvrir tout un tas de lieux, de personnages, de créatures étranges et fantastiques, comme cela avait été le cas dans les mondes de La tour sombre. Sauf qu'en fait non. Au final, le garçon passe la majorité de son temps dans notre monde, et ses passages dans l'autre monde se résument à peau de chagrin, à un petit village de campagne, un garçon-loup, et un autre petit garçon avec qui il va finir l'aventure. Mais pour un roman de fantasy, c'est vraiment maigre et décevant...
Ce roman est en réalité l'histoire d'un garçon qui va découvrir et apprendre la dure réalité de la vie, et qui va souffrir pour tenter de sauver sa mère, en se lançant dans une quête oscillant entre l'absurde et l'impossible. Mais si on recherchait un bon bouquin de fantastique/fantasy, alors c'est raté. Mais même en mettant cela de coté, l'histoire n'a rien de passionant non plus. Il ne se passe pas grand chose, si ce n'est un enchaînement de chapitres qui n'ont aucun lien les uns entre les autres, et qui pourraient être intervertis tant il n'y a aucune évolution ni dans l'histoire ni dans les personnages.
Grosse déception, et j'ai vraiment dû me forcer pour le terminer... Première fois que je suis déçu par un roman du King.
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Créée
le 16 mars 2017
Critique lue 582 fois
Gosse, j'adorais King. Et j'adorais Straub. Même pas besoin de lire la 4eme de couverture, j'avais fait un caprice à la seule vue des auteurs du bouquin pour qu'on me l'achete. 3 jours après,...
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le 25 déc. 2020
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Après quelques pages, aucun doute, c'est du Stephen King. Et pas celui que je préfère d'ailleurs. Le pitch, en vitesse : Jack Sawyer a 12 ans lorsqu'il comprend que sa mère malade va bientôt mourir...
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le 5 nov. 2010
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Voilà peut-être plus de 20 ans que ce livre trônait dans ma bibliothèque, sans que je n'ose un jour en reprendre la lecture; l'ayant commencé à l'adolescence, puis abandonné, j'avais été effrayé par...
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Dans Divergent, ce ne sont pas les gentils contre les méchants, les Jedi contre les Sith, mais cinq factions qui se détestent. Les altruistes, les intellos, les combattants, les pacifiques et les...
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Autant vous prévenir tout de suite : je déteste ce jeu. C'est pire qu'une drogue. Les fans de Skryim, Morrowind, ou des récents Fallout me comprendront, avec le classique "bon, je me fais cette...
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