la tête qui tourne
Oui, ça tangue quand on lit Gibson. L'impression de découvrir quelque chose que l'on sait déjà. Comme une histoire déjà écrite avant même que l'auteur la propose. C'est cette sensation de déjà-vu...
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le 1 nov. 2024
Oui, ça tangue quand on lit Gibson. L'impression de découvrir quelque chose que l'on sait déjà. Comme une histoire déjà écrite avant même que l'auteur la propose. C'est cette sensation de déjà-vu propre à cet auteur qui me fait revenir sans cesse vers lui et cette école de la dystopie quasiment réaliste, quand la réalité, la fiction, l'imaginaire, le probable sont tout aussi irrationnels et désorientant que ce moment de doute après la fin d'une bonne sieste, quand je me demande si je suis toujours vivant ou si je ne fais que rêver. Ou que je vis ou meurs d'autre chose, d'un processus non exprimable fait d'échanges d'informations ou de trade entre une infinité de matrioshkas sensorielles et cognitives.
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le 1 nov. 2024
Modifiée
le 1 nov. 2024
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Oui, ça tangue quand on lit Gibson. L'impression de découvrir quelque chose que l'on sait déjà. Comme une histoire déjà écrite avant même que l'auteur la propose. C'est cette sensation de déjà-vu...
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le 1 nov. 2024
Bluette avec plein d’armes. Des gentils méchants. Des assassins gentils. Des victimes, des guerres. Avances rapides. Vide. Clichés. Ennui.
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le 16 févr. 2025
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Ben non. Abscons c'est Inland Empire, ou la troisième saison de Twin Peaks, ou le cinéma expérimental hongrois peut-être. Et dans la même thématique des boucles temporelles, Tenet est mille fois plus...
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le 11 juil. 2023
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et en plus je connais très bien la vie des petites villes "pas de Paris" ; donc nous avons un film sur le foot dans une petite ville "qui n'est pas Paris", réalisé évidemment par un parisien,...
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le 16 nov. 2023
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