L'histoire démarre bien et ne peut que plaire à tout le monde (facilité) : tout plaquer - quand on a quelques choses à laquer d'intéressant, partir à la découverte - quand on sait déjà plein de choses et à l'aventure - quand on est plutôt casanier. Puis le héros est pris dans les délire parano scénique d'un auteur qui distille ses affres et tourment dans la période tourmenté de Salazar . le "livre dans le livre". Notre héros prend son bâton de pèlerin et part en quête d'identité, l¡identité de l'autre afin de découvrir la sienne. Le livre dans le livre parle justement de l'impossibilité d'être identique à notre identité identifié par l' autre qui nous regarde à`travers une vitre, perturbé qu'éil est par le reflet de sa propre image… certains passage sont profonds, d'autre profondément lourd et surtout distillé petit à petit. Pourquoi M. Mercier n'a t'il pas signé le livre qu'il fait signer par un autre, s'eût été plus simple.
C'est un livre a absorber d'une traite. ce que je n'ai pas fait… je m'y suis perdu et au final ai abandonné. désolé
beb_the_moud
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le 21 janv. 2015

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Bertrand Mouden

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