Ecrit en 1838, ce Traité des excitants modernes s’inscrit dans l’usage propre au XIX° siècle d’écrire des « physiologies », des études sur un métier, un usage, une mode, un comportement. Lui-même accro au café, dont il buvait jusqu’à cinquante tasses par jour, Balzac prône la modération et dépeint avec une certaine ironie par moments, les effets indésirables des excitants consommés à trop haute dose.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Relisez vos classiques !
Créée
le 24 févr. 2022
Critique lue 45 fois
Du même critique
Ange est étudiante, elle a dix-neuf ans. Elle vit en colocation avec Donate, qui est une râleuse invétérée. Pour arrondir ses fins de mois, elle accepte de donner des cours de français à Pie, un...
Par
le 22 août 2020
10 j'aime
2
Léonard, 17 ans, passe ses vacances dans un camping des landes avec sa famille. Sous les sourires, la bonne humeur de circonstance, la décontraction affichée, se cache un drame vécu par l'adolescent...
Par
le 20 sept. 2019
6 j'aime
Un énorme coup de cœur pour cette BD ! Marion Montaigne a suivi Thomas Pesquet tout au long de ses sept ans d’entraînement, en vue de sa mission dans la station spatiale internationale. Elle était...
Par
le 3 avr. 2018
5 j'aime
